NOTE AUX PARENTS
À l’âge de 6 à 7 ans, les mécanismes cérébraux permettant à l’enfant de réussir dans ses apprentissages commencent à se former.
Les médecins estiment que c’est une période très difficile pour l’enfant lui-même. Nos arrière-grands-mères avaient mille fois raison d’envoyer leurs enfants au gymnase seulement à 9 ans, lorsque le système nerveux est déjà formé.
Cependant, il est possible d’éviter aujourd’hui encore des troubles graves et des maladies si l’on respecte des règles très simples.
Règle n°1.
Ne jamais inscrire un enfant en première année d’école et dans une activité extrascolaire en même temps. Le début de la vie scolaire représente déjà un stress important pour un enfant de 6 à 7 ans.
S’il ne peut pas sortir, se reposer, faire ses devoirs sans précipitation, il pourrait avoir des problèmes de santé.
Donc, si vous jugez que la musique ou le sport sont essentiels à son éducation, commencez-les un an avant l’entrée à l’école ou à partir de la deuxième année.
Règle n°2.
Il est important que l’enfant n’ait pas peur de faire des erreurs.
S’il ne réussit pas quelque chose, réagissez calmement. Sinon, il risque de croire qu’il est incapable. Même un adulte n’y arrive pas toujours du premier coup quand il apprend quelque chose de nouveau.
Si vous voyez une erreur, attirez l’attention de l’enfant dessus et proposez-lui de la corriger. Et surtout, félicitez-le. Félicitez-le pour chaque petit succès, même minime.
Règle n°3.
Évitez les exigences excessives.
Ne demandez pas tout et tout de suite. Souvenez-vous que des qualités importantes comme l’assiduité, la rigueur, la responsabilité ne se forment pas instantanément.
L’enfant apprend encore à se maîtriser, à organiser ses activités et a un grand besoin de soutien, de compréhension et d’approbation de la part des adultes.
Le rôle des parents est de faire preuve de patience et d’aider l’enfant.
Règle n°4.
Souvenez-vous que l’enfant ne peut se concentrer que 10 à 15 minutes maximum.
Donc, lorsque vous faites les devoirs avec lui, il faut faire une pause toutes les 10 à 15 minutes, accompagnée impérativement d’une activité physique.
Demandez-lui par exemple de sauter sur place 10 fois, de courir ou de danser quelques minutes.
Commencez les devoirs par l’écriture. Vous pouvez alterner les exercices écrits avec des exercices oraux.
Règle n°5.
Ne pensez pas à la place de l’enfant.
Quand vous l’aidez à faire ses devoirs, ne vous immiscez pas dans tout ce qu’il fait. Sinon, il pensera qu’il est incapable de réussir seul.
Ne réfléchissez pas et ne décidez pas à sa place, sinon il comprendra vite qu’il n’a pas besoin d’apprendre, puisque ses parents finiront toujours par tout faire à sa place.
Règle n°6.
Soyez attentifs à toutes les difficultés de votre enfant et consultez des spécialistes si nécessaire.
S’il a des problèmes de santé, occupez-vous en, car les charges scolaires peuvent aggraver son état.
Si son comportement vous inquiète, n’hésitez pas à demander de l’aide et des conseils à un psychologue.
En cas de problèmes de langage, consultez un orthophoniste.
Règle n°7.
L’ordinateur, la télévision et toute activité sollicitant intensément la vue ne doivent pas dépasser une heure par jour — c’est l’avis des ophtalmologistes et des neurologues dans tous les pays du monde.
Règle n°8.
Pendant la première année scolaire, ce dont votre enfant a le plus besoin, c’est de votre soutien.
Il découvre non seulement les relations avec ses camarades et ses enseignants, mais comprend aussi pour la première fois que certaines personnes veulent être ses amis, d’autres non.
C’est à ce moment-là qu’il construit son propre regard sur lui-même.
Et si vous voulez qu’il devienne une personne calme et sûre d’elle, félicitez-le. Soutenez-le, ne le grondez pas pour ses notes ou pour la saleté dans ses cahiers.
Tout cela n’a aucune importance face au risque qu’un enfant perde confiance en lui à cause de reproches et de punitions incessants.
Règle n°9.
Organisez des petites fêtes. Il n’est pas difficile de trouver un prétexte.
Soyez heureux de ses succès. Que vous et votre enfant soyez de bonne humeur.
Quelques règles simples :
— Montrez à l’enfant qu’il est aimé tel qu’il est, pas pour ses résultats.
— Ne dites jamais (même sous le coup de la colère) qu’il est moins bien que les autres.
— Répondez honnêtement et patiemment, autant que possible, à toutes ses questions.
— Essayez chaque jour de trouver un moment pour être seul avec lui.
— Apprenez-lui à communiquer librement et aisément, non seulement avec ses pairs, mais aussi avec les adultes.
— N’ayez pas peur de dire que vous êtes fier de lui.
— Dites toujours la vérité à l’enfant, même si cela ne vous arrange pas.
— N’obtenez jamais un résultat par la force. La contrainte est la pire forme d’éducation morale. Elle détruit la personnalité de l’enfant au sein de la famille.
— Évaluez uniquement ses actions, jamais l’enfant lui-même.
— Reconnaissez son droit à l’erreur.
— Soyez honnêtes dans vos sentiments envers lui.
— Pensez à constituer une « banque de souvenirs heureux » pour votre enfant.
— L’enfant se perçoit comme les adultes le perçoivent.
Et mettez-vous, parfois, à la place de votre enfant — cela vous aidera à mieux comprendre comment vous comporter avec lui.
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