La tuberculose (TB) demeure l’une des principales causes de mortalité mondiale, avec environ 10 millions de nouveaux cas chaque année et près de 1,5 million de décès (OMS, 2023). Bien qu’elle soit évitable et traitable, la tuberculose représente toujours un défi majeur pour la santé publique mondiale, en particulier dans les pays à faibles et moyens revenus où elle est souvent associée à la pauvreté, une nutrition insuffisante et des systèmes de santé défaillants (Lee et al., 2022; Wu et al., 2023). La lutte contre la tuberculose nécessite des stratégies innovantes, et le repurposing des médicaments – réutiliser des médicaments déjà existants pour de nouvelles indications – apparaît comme une solution prometteuse.
Le repurposing des médicaments offre un moyen rapide et efficace de développer des traitements contre la TB. En effet, cette approche permet de contourner les longues et coûteuses phases de développement de nouveaux médicaments, en tirant parti de substances dont la sécurité et les effets secondaires ont déjà été évalués (Fatima et al., 2021). Compte tenu de l’émergence de souches multirésistantes (MDR) et extensivement résistantes (XDR) de Mycobacterium tuberculosis (M. tb), il devient impératif de trouver de nouvelles options thérapeutiques. Par exemple, des médicaments comme la metformine, les statines ou encore certains antipsychotiques, qui améliorent la réponse immunitaire de l’hôte ou ciblent des voies bactériennes spécifiques, montrent un potentiel intéressant dans le traitement de la TB (Hua et al., 2022; Kulkarni et al., 2023). Ces médicaments pourraient être utilisés en combinaison avec les thérapies standard de la tuberculose, ou offrir des mécanismes alternatifs pour surmonter la résistance aux traitements classiques.
L’un des principaux obstacles dans la lutte contre la tuberculose reste sa forte transmissibilité et la durée des traitements. En effet, le traitement de la TB classique nécessite une prise prolongée d’antibiotiques pendant six mois ou plus. Cette durée étendue, associée à des effets secondaires souvent pénibles, entraîne une mauvaise adhésion des patients aux traitements et favorise l’émergence de résistances. Le risque de résistance aux médicaments est accru lorsque la tuberculose développe une résistance à l’isoniazide et à la rifampicine, les deux médicaments les plus efficaces dans le traitement de la TB. Cela conduit à la formation de la TB multirésistante (MDR), qui nécessite des schémas thérapeutiques plus complexes et plus longs, avec des médicaments de deuxième ligne souvent moins efficaces et plus toxiques (Seung et al., 2015; Zarin et al., 2024).
Le repurposing de médicaments permet ainsi d’offrir de nouvelles solutions face à cette problématique. Par exemple, des études ont montré que des médicaments anticancéreux comme le cisplatine ou la mitotane, bien qu’originellement utilisés pour traiter des cancers, peuvent jouer un rôle dans la lutte contre M. tuberculosis en modifiant les processus de réplication cellulaire de la bactérie ou en altérant sa capacité à résister aux traitements (Yuan et al., 2018). Ces découvertes pourraient ouvrir la voie à des traitements plus efficaces et mieux tolérés par les patients, tout en limitant l’apparition de résistances.
Un autre défi majeur dans le combat contre la tuberculose est le phénomène de co-infection, notamment chez les personnes vivant avec le VIH. La tuberculose et le VIH ont un impact synergique, chacun facilitant la progression de l'autre. Les individus infectés par le VIH, dont le système immunitaire est affaibli, sont beaucoup plus susceptibles de développer une forme active de la tuberculose. La gestion de la TB dans cette population nécessite donc une approche thérapeutique intégrée, prenant en compte les effets de la co-infection sur l’efficacité du traitement et la prise en charge globale du patient (Getahun et al., 2020; Morales et al., 2022).
L'importance du repurposing des médicaments dans ce contexte est indiscutable. En permettant de réutiliser des médicaments déjà autorisés pour d'autres pathologies, cette stratégie offre une solution rapide face à la montée des résistances, tout en facilitant l'accès aux traitements dans des zones à ressources limitées. Toutefois, malgré ses avantages apparents, le repurposing des médicaments comporte aussi des défis, notamment la nécessité de mener des essais cliniques rigoureux pour évaluer leur efficacité et leur sécurité dans de nouveaux contextes thérapeutiques.
Pour les futures stratégies de lutte contre la tuberculose, une compréhension approfondie des mécanismes de résistance et des interactions pharmacologiques des médicaments repensés sera cruciale. Le développement d'approches thérapeutiques combinées, intégrant des médicaments existants et nouveaux, pourrait s'avérer être la clé pour réduire la prévalence de la tuberculose et sa mortalité. En outre, des efforts doivent être déployés pour améliorer la sensibilisation à la tuberculose et réduire la stigmatisation associée à cette maladie, un facteur qui empêche de nombreux patients de rechercher un traitement à temps.
Quelles sont les solutions thérapeutiques émergentes contre la schistosomiase grâce à la reposition de médicaments ?
Le repositionnement des médicaments s'avère être une stratégie prometteuse dans la lutte contre la schistosomiase et d'autres infections parasitaires causées par des trématodes. Les avancées notables dans ce domaine ont principalement porté sur l'utilisation de médicaments antipaludiques. Ce choix repose sur un principe fondamental : les parasites responsables de la malaria, tels que Plasmodium spp., ainsi que ceux responsables de la schistosomiase, comme les Schistosoma spp., dépendent du sang pour leur alimentation. Ils partagent donc des voies métaboliques similaires, en particulier en ce qui concerne la détoxification de l'hème (Xiao et Sun, 2017).
L'artémisinine, issue de la plante Artemisia annua, est un exemple de médicament antipaludéen qui a été réutilisé dans le traitement de la schistosomiase. Bien que cette molécule soit d'abord célèbre pour ses propriétés antipaludiques, son efficacité en tant qu'anthelminthique a été mise en lumière au début du XXIe siècle. Des études ont démontré que l'artémisinine est particulièrement efficace contre les formes juvéniles de Schistosoma et montre une efficacité modérée contre les adultes. Son utilisation en prévention semble prometteuse. De plus, lorsqu'elle est combinée avec le praziquantel, l'artémisinine a montré des effets synergiques, renforçant ainsi son potentiel pour les thérapies combinées. Les essais cliniques en cours visent à évaluer l'efficacité et la sécurité de cette combinaison pour traiter les infections à S. mansoni (Obonyo et al., 2023).
Le méfloquine, un autre médicament antipaludéen, a également attiré l'attention en tant que candidat pour le traitement de la schistosomiase. Bien que développé initialement pour la malaria, ce médicament a montré une efficacité notable contre les trois principales espèces de Schistosoma responsables des infections humaines : S. mansoni, S. japonicum et S. haematobium. De plus, il s'avère tout aussi efficace contre les formes adultes et juvéniles des parasites, ce qui est une caractéristique distincte par rapport au praziquantel et à l'artémisinine. La combinaison de la méfloquine avec l'artésunate (un dérivé de l'artémisinine) a démontré des effets synergiques en clinique, rendant cette combinaison prometteuse pour le traitement de la schistosomiase (Roucher et al., 2021 ; Bottieau et al., 2024).
En plus des antipaludiques, des chercheurs ont exploré d'autres classes de médicaments, notamment les médicaments anticancéreux. Parmi eux, la miltéfosine, un alkylphospholipide développé à l'origine pour traiter les métastases cutanées du cancer du sein, a montré une activité significative contre S. mansoni à différents stades de développement. Son utilisation en combinaison avec le praziquantel a également été testée et a montré des résultats prometteurs dans les études précliniques (Eissa et al., 2020). De plus, certains inhibiteurs des histone déacétylases (HDACi), qui sont déjà utilisés pour traiter des maladies hématologiques, ont émergé comme cibles potentielles pour le traitement de la schistosomiase (Ghazy et al., 2022). Cependant, il convient de noter que les résultats actuels sont principalement basés sur des études in vitro, et des tests supplémentaires sur des modèles animaux sont nécessaires avant de pouvoir envisager leur utilisation chez l'homme.
En outre, des antibiotiques comme le nifuroxazide, traditionnellement utilisés contre les infections bactériennes, ont récemment été explorés pour leur potentiel contre la schistosomiase. Les premières études montrent que ce médicament réduit de manière significative la charge en œufs chez les souris infectées expérimentalement (Roquini et al., 2023). Ces recherches ouvrent de nouvelles perspectives pour le repositionnement de médicaments existants, réduisant ainsi le temps et les coûts nécessaires à l'identification de traitements efficaces.
Ce n'est cependant pas la seule voie d'exploration pour le traitement des trématodes. La recherche ne cesse d'explorer de nouvelles cibles moléculaires grâce aux technologies récentes de séquençage génomique. L'émergence de nouvelles cibles potentielles, telles que les synthétases d'aminoacyl-ARNt et les HDACs, est particulièrement intéressante pour le développement de médicaments plus spécifiques et plus puissants contre ces parasites.
Pour compléter cette approche, la mise au point de médicaments à partir de sources variées semble également ouvrir des avenues supplémentaires dans la recherche thérapeutique contre la schistosomiase et les infections par trématodes. Bien que des progrès aient été réalisés, il est important de rappeler que la recherche en médicaments repositionnés présente des défis. Le succès de ces thérapies dépend de la capacité à évaluer de manière approfondie leur efficacité dans des conditions réelles, à tester leur sécurité à long terme et à résoudre les problèmes de résistance parasitaire qui peuvent surgir en cas d'utilisation prolongée.
Comment les médicaments actuels peuvent-ils traiter les infections par les helminthes transmis par le sol, et quelles sont les perspectives futures ?
Les infections parasitaires causées par les helminthes transmis par le sol (HTS) demeurent un problème de santé publique majeur dans de nombreuses régions du monde, en particulier dans les zones rurales des pays en développement. Bien que plusieurs médicaments aient été développés pour traiter ces infections, les défis persistants liés à leur efficacité, à la résistance croissante et à la difficulté de les administrer de manière systématique soulignent la nécessité d'explorer de nouvelles options thérapeutiques et des stratégies alternatives.
Les traitements classiques reposent principalement sur des médicaments tels que l'albendazole, le mébendazole et l'ivermectine, qui ont montré leur efficacité dans la gestion des infections à vers intestinaux, notamment les ascaris, les trichures et les ankylostomes. Cependant, ces médicaments présentent des limitations. Par exemple, la résistance aux anthelminthiques, bien que lente, s’installe progressivement dans certaines populations, compromettant ainsi leur efficacité à long terme. De plus, les effets secondaires possibles de ces traitements, bien que généralement bénins, ajoutent une autre couche de complexité au traitement des infections par les helminthes transmis par le sol.
Pour faire face à ces défis, l'un des domaines de recherche les plus prometteurs est le repositionnement des médicaments. En exploitant les connaissances existantes sur la pharmacologie et en utilisant des approches de criblage virtuel et de modélisation moléculaire, il est possible de réorienter des médicaments déjà approuvés pour d'autres indications vers le traitement des infections parasitaires. Le repositionnement offre l’avantage de réduire le temps et les coûts nécessaires pour l’approbation des médicaments, car leur profil de sécurité est déjà bien établi. Par exemple, des médicaments initialement développés pour des maladies cardiovasculaires, des infections virales ou des cancers peuvent être évalués pour leur efficacité contre des parasites spécifiques, comme ceux responsables de la filariose ou de l’échinococcose.
Une autre stratégie consiste à explorer les combinaisons de traitements. Les études récentes ont montré que l'association de médicaments anthelminthiques traditionnels avec d'autres substances, y compris des composés naturels ou des dérivés d'antibiotiques, pourrait non seulement améliorer l'efficacité thérapeutique mais aussi ralentir l’apparition de résistances. Les dérivés de la triclabendazole, par exemple, sont particulièrement intéressants pour le traitement de la fasciolose, et des recherches sont en cours pour évaluer leur activité contre d'autres types d'infections parasitaires.
Cependant, les perspectives de traitement des HTS ne se limitent pas aux médicaments existants. Les avancées dans la génomique parasitaire, associées aux technologies modernes d’intelligence artificielle et de biologie systémique, permettent une meilleure compréhension des mécanismes biologiques des helminthes. Cette approche ouvre la voie à la découverte de nouvelles cibles thérapeutiques, offrant ainsi des perspectives pour de futurs médicaments plus ciblés et potentiellement plus efficaces. Par exemple, l’étude de l’interaction entre les helminthes et leurs hôtes pourrait permettre de développer des traitements qui modifient ces interactions, rendant les parasites plus vulnérables aux traitements.
La recherche sur les traitements alternatifs est également un domaine en plein essor. Des essais cliniques récents ont mis en lumière des approches prometteuses basées sur des médicaments moins conventionnels, comme les antipaludiques ou les molécules dérivées des plantes, qui présentent un potentiel dans le traitement des infections par les helminthes. En outre, des stratégies immunologiques, telles que les vaccins contre certains types de vers, bien que plus complexes à développer, pourraient dans le futur jouer un rôle crucial dans l’élimination de ces parasites.
Enfin, il est crucial de comprendre que le contrôle des infections parasitaires ne repose pas uniquement sur les traitements médicamenteux. Les stratégies de prévention, telles que l'amélioration de l'hygiène, la fourniture d'eau potable et l’éducation des populations sur les risques d’infection, demeurent essentielles. L’éradication complète des helminthes transmis par le sol nécessite une approche intégrée, combinant traitements, prévention et sensibilisation communautaire.
Le repositionnement de médicaments existants représente donc une avenue de recherche pleine de promesses, mais cette approche ne peut à elle seule résoudre le problème complexe des infections parasitaires. Les efforts continus pour développer de nouvelles classes de médicaments, ainsi que pour améliorer l'accès aux traitements dans les régions les plus touchées, resteront essentiels dans la lutte contre ces parasites.
La réutilisation des médicaments et les nanomatériaux : une stratégie innovante pour le traitement de la leishmaniose
La recherche de traitements efficaces contre des maladies comme la leishmaniose, qui affecte des millions de personnes dans le monde, a conduit à une exploration des thérapies existantes, en particulier par le biais de la réutilisation de médicaments et l'utilisation de nanomatériaux. Parmi les médicaments actuellement utilisés, des composés tels que la pentamidine, la paromomycine, la miltéfosine et l'amphotéricine B sont administrés par voie parentérale. Cependant, leur utilisation est limitée en raison de leur toxicité élevée et de la résistance croissante des parasites (Burza et al. 2018 ; Casadei et al. 2021 ; de Almeida et al. 2024). De ce fait, il devient impératif de trouver de nouveaux traitements peu coûteux et efficaces.
Dans cette quête, la réutilisation de médicaments (ou "drug repurposing") combinée à l'utilisation de nanotechnologies émerge comme une piste prometteuse. Des chercheurs à travers le monde ont exploré ce concept en réintégrant des médicaments déjà existants pour traiter la leishmaniose, un exemple étant le delamanid. Ce médicament, initialement développé pour traiter la tuberculose multirésistante, a montré une efficacité contre la forme amastigote intracellulaire du parasite responsable de la leishmaniose (Antamaría-Aguirre et al. 2024). Toutefois, pour que ce médicament devienne une option thérapeutique viable, des améliorations sont nécessaires pour augmenter sa biodisponibilité, garantir une libération prolongée et améliorer sa stabilité chimique. À cet égard, Santamaría-Aguirre et al. (2024) ont encapsulé le delamanid dans des nanoparticules de lipides solides, une méthode qui a permis une pénétration cutanée efficace et une meilleure activité contre les amastigotes intracellulaires.
Une autre étude utilisant une approche combinée de réutilisation de médicaments et de nanomateriaux a été menée par Mehravaran et al. (2019). Dans cette recherche, les auteurs ont utilisé l'imiquimod, un agent chimiothérapeutique topique pour le traitement des tumeurs cutanées, qu'ils ont intégré dans des liposomes cationiques. Ces liposomes, réputés pour leur profil de sécurité clinique et leur faible immunogénicité, ont démontré une réponse immunitaire cellulaire efficace contre le parasite responsable de la leishmaniose. Cette étude met en lumière la capacité des nanomateriaux à faciliter une libération ciblée, optimisant ainsi l'efficacité du traitement.
Un autre médicament en cours d'évaluation pour la leishmaniose est la sertraline, couramment prescrite pour des troubles tels que la dépression, l'anxiété et le trouble obsessionnel compulsif. Cependant, son efficacité dans le traitement de la leishmaniose est limitée par une absorption orale faible. Romanelli et al. (2019) ont montré que l'encapsulation de la sertraline dans des liposomes contenant de la phosphatidylsérine permet de réduire les niveaux du parasite à faibles doses, tout en ciblant spécifiquement le foie et la rate des souris infectées.
Certains médicaments vétérinaires ont également montré des résultats prometteurs contre la leishmaniose. Costa-Silva et al. (2017) ont associé un nanoliposome chargé négativement à la buparvaquone, un médicament utilisé dans le traitement de la thélirose bovine, et ont constaté que cette combinaison avait des effets immunomodulateurs et éliminait efficacement le parasite à faibles doses chez les animaux infectés.
Cependant, malgré les résultats encourageants, la réutilisation de médicaments présente des défis notables. L'absence d'incitations financières pour les médicaments non protégés par des brevets ou réglementations spécifiques limite l'investissement dans cette approche (Cha et al. 2018 ; Albuquerque et al. 2022). Ainsi, la recherche académique, l'industrie pharmaceutique et les entreprises technologiques jouent chacun un rôle distinct dans l'avancement de la réutilisation des médicaments. Les institutions académiques sont souvent moins motivées par les gains commerciaux que l'industrie, ce qui conduit à la mise en place de partenariats pour soutenir la recherche préliminaire sur l'utilisation de médicaments établis pour de nouvelles indications. Ces collaborations peuvent permettre d'intégrer des technologies émergentes comme la nanotechnologie, favorisant ainsi le développement de systèmes de traitement plus efficaces.
L'un des avantages clés des nanoparticules (NPs) dans les études de médicaments est leur capacité à offrir une libération contrôlée, à modifier la biodistribution des médicaments et à cibler spécifiquement certaines zones du corps. De plus, l'intégration des NPs dans des traitements combinés peut potentiellement améliorer les résultats thérapeutiques. Par exemple, des nanomédecines déjà approuvées par la FDA, telles que le Doxil et l'Abraxane, ont démontré comment la nanotechnologie peut améliorer la livraison et l'efficacité des médicaments existants, en particulier dans le traitement du cancer (Barenholz, 2012 ; Ma et Mumper, 2013).
Bien que les approches basées sur la nanomédecine puissent ne pas toujours correspondre à la définition stricte de la réutilisation des médicaments, elles illustrent le potentiel de cette technologie pour améliorer les résultats thérapeutiques. Le mariage de la réutilisation des médicaments et des nanotechnologies ouvre ainsi de nouvelles avenues pour le développement rapide et rentable de traitements plus efficaces pour des maladies telles que la leishmaniose, tout en répondant à la diversité des besoins des patients.
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