Le 19ème siècle aux États-Unis fut marqué par des débats houleux concernant l’esclavage et son extension dans les territoires. Ce sujet crucial devint un point de fracture non seulement entre les États du Nord et du Sud, mais aussi entre les partis politiques qui, malgré des idéaux similaires de liberté et de justice, proposaient des approches opposées pour résoudre la question de l’esclavage. Ce contraste se reflète particulièrement dans les positions des partis Républicain et Démocrate, dont les principes se sont profondément transformés au fil du temps.
Le Parti Républicain, fondé dans les années 1850, émergea principalement en réponse à la menace d’extension de l’esclavage dans les nouveaux territoires des États-Unis. Ce mouvement s’opposait fermement à l’introduction de l’esclavage dans les territoires nouvellement acquis, arguant que cela constituait une menace à la liberté et à l’égalité promises par la Constitution. Leur vision était que le gouvernement national devait intervenir pour interdire l’esclavage partout où il existait, une position qui allait à l’encontre de l’idée selon laquelle les États, sous un régime fédéral, devraient avoir le droit de décider de leur propre politique en matière d’esclavage.
Les Républicains dénonçaient particulièrement l’ouverture récente du commerce des esclaves africains sous couvert du drapeau national, une situation qu'ils considéraient comme une perversion des principes juridiques du pays. Ils s’insurgeaient également contre l’intervention des gouverneurs fédéraux, qui avaient opposé leur veto aux lois interdisant l’esclavage dans des territoires comme le Kansas et le Nebraska. Pour les Républicains, l’abolition de l’esclavage n’était pas seulement une question de justice, mais une nécessité pour assurer la sécurité nationale et la pérennité de la République.
Leurs principes étaient clairs : l’esclavage devait être éradiqué de toutes les terres de la République. La Proclamation d'Émancipation de 1863, qui affranchissait les esclaves des États du Sud, fut une victoire majeure, suivie par l’engagement de recruter des soldats issus de la population afro-américaine. La victoire du Nord dans la guerre civile, sous l’égide du Parti Républicain, marqua ainsi non seulement la fin de l’esclavage dans les États du Sud, mais aussi la reconstruction du pays avec la liberté en tant que fondement de la nouvelle union.
D'un autre côté, le Parti Démocrate, surtout dans sa plateforme de 1856, défendait vigoureusement l’idée que le gouvernement fédéral n’avait pas le droit de s’immiscer dans les affaires internes des États, en particulier en ce qui concernait l’esclavage. Selon cette vision, les États avaient le droit de déterminer par eux-mêmes si l’esclavage devait être autorisé ou non, un principe de souveraineté étatique qui allait à l’encontre des aspirations républicaines d’unité nationale imposée par un gouvernement central. Pour les Démocrates, cette position s’inscrivait dans un cadre plus large de fédéralisme, qui prônait une répartition des pouvoirs entre les autorités centrales et locales, et non une centralisation excessive.
À la suite de la guerre civile et de la défaite du Sud, la question de l’esclavage semblait résolue pour la majorité des Américains. Cependant, le Parti Démocrate, tout en reconnaissant la fin de l’esclavage, continua de défendre les droits des États, mettant en avant la souveraineté locale plutôt que la primauté du gouvernement fédéral. Ce principe de “droits des États” devint un pilier de la politique démocrate au cours des décennies suivantes, particulièrement après la guerre civile, et continua de façonner les débats politiques jusqu’au 20ème siècle.
Il est essentiel de noter que, bien que la question de l’esclavage ait été résolue de manière juridique, ses échos ont persisté, notamment dans les débats sur les droits civils et les questions de discrimination raciale. Au fur et à mesure que les États-Unis évoluaient, les anciens partis politiques adaptèrent leurs positions, mais les traces de cette lutte pour la liberté et l’égalité restent visibles dans les débats contemporains sur l’intervention fédérale et la décentralisation des pouvoirs.
Les changements dans les idéologies politiques et les stratégies des partis ne doivent pas être réduits à une simple évolution des opinions sur l’esclavage. Ce qui a profondément marqué cette époque, c’est la manière dont les concepts de liberté, de justice et de gouvernement national ont été interprétés et redéfinis en fonction des circonstances historiques. Les Républicains, tout en affirmant leur engagement pour la liberté et l’égalité, ont aussi dû jongler avec la question de l’unité nationale et de l’extension de l’autorité fédérale. Les Démocrates, de leur côté, ont cherché à protéger ce qu’ils percevaient comme un droit fondamental des États à gérer leurs affaires sans ingérence extérieure, tout en minimisant l’impact de la question de l’esclavage dans leur politique future.
À mesure que l’histoire avançait, la question de l’esclavage se transforma, mais l’essence de la lutte pour l’égalité et la liberté resta présente sous des formes différentes, comme en témoigne la dénonciation des injustices liées au travail salarié ou la révision de l’histoire de l’esclavage dans le cadre de commissions gouvernementales. Cependant, il est essentiel de comprendre que derrière ces changements de position, les questions de justice sociale, de droits humains et d’équilibre entre les pouvoirs centraux et locaux continuent de jouer un rôle déterminant dans les débats politiques des États-Unis.
L'Identité politique blanche et l'impact des changements démographiques sur les États-Unis
L'élection de Barack Obama en 2008, suivie de sa réélection en 2012, et la nomination de Kamala Harris comme vice-présidente en 2020 ont été perçues par certains comme des signes de bouleversements sociaux profonds. Ces événements ont en effet exacerbé les sentiments d'angoisse et d'incertitude chez certains segments de la population blanche, notamment au sein de l'électorat chrétien blanc. Ce malaise est bien résumé par les propos du commentateur Rush Limbaugh après l’élection de 2012 : "Je suis allé me coucher hier soir en pensant que nous sommes dépassés. Je suis allé me coucher hier soir en pensant que cette élection dirait si nous avons perdu le pays." Ces mots traduisent une inquiétude face à un changement démographique et culturel que certains perçoivent comme une menace existentielle pour leur statut et leur identité.
Dans le livre White Identity Politics, Ashley Jardina met en lumière la distinction entre le racisme et le désir des groupes blancs de "protéger leurs intérêts collectifs et maintenir leur statut". Cette définition est fondamentale pour comprendre les dynamiques sociales et politiques de ces dernières décennies. Il est en effet crucial de reconnaître que, bien que 30 % des blancs considèrent que leur identité raciale n'est pas importante, une proportion significative d'entre eux, environ 50 %, affirment que l'identité blanche est "importante" ou "très importante" pour leur sens de soi.
Les différences entre les chrétiens blancs et les non-chrétiens blancs sont particulièrement marquées lorsqu’il s'agit de questions telles que le racisme. Une enquête menée en 2018 a révélé que les chrétiens blancs, en particulier les évangéliques, sont plus susceptibles de marquer des scores élevés sur un indice de racisme par rapport à leurs homologues non religieux. De plus, une autre caractéristique notable de nombreux chrétiens blancs est le sexisme, qui trouve son fondement dans une théologie évangélique conservatrice. Cette théologie valorise une hiérarchie traditionnelle des genres, où les hommes sont considérés comme devant dominer dans les foyers et dans la société. Cette vision se heurte souvent aux évolutions sociales récentes, telles que l’égalité des sexes et les droits des minorités, qui sont perçues par ces groupes comme des menaces contre l'ordre divin.
Les tensions qui en résultent ont été exploitées par des figures politiques comme Ronald Reagan, qui, en 1980, a invité les Américains à participer à une "croisade nationale pour rendre l'Amérique grande à nouveau". Ce slogan, repris par Donald Trump en 2016, a résonné profondément au sein de l’électorat chrétien blanc, qui y a vu la promesse de restaurer un ordre ancien, celui où la culture et la politique américaines étaient dominées par les chrétiens blancs. Pour ces électeurs, la victoire de Trump n’a pas seulement été une victoire politique, mais une victoire sur ce qu’ils percevaient comme une érosion de leur pouvoir et de leur influence au sein d’une société en mutation.
Donald Trump a, en effet, joué un rôle crucial dans la mobilisation de l'électorat chrétien blanc. Selon Robert Jones, de l'Institut de recherche en religion publique, Trump a réussi à transformer un groupe d'électeurs traditionnellement associés aux "valeurs chrétiennes" en un groupe porteur d’une nostalgie radicale, une nostalgie de l’époque où les chrétiens blancs occupaient une position dominante dans la société. Cette stratégie politique a fonctionné en réponse à un sentiment de peur et de perte, ce qui a permis à Trump de rallier une large frange de la population autour d’une vision du monde conservatrice et anti-progressiste.
Le phénomène décrit par May Darwich dans son article "Casting the Other as an Existential Threat" reflète cette dynamique, où l’"Autre" devient l'incarnation d’une menace existentielle pour une société qu’un groupe perçoit comme menacée par des changements démographiques et culturels. Une telle représentation pousse les électeurs à une solidarité tribale renforcée, où le vote devient non seulement une question de politique mais une question de survie et de préservation de l’identité.
À travers cette dynamique, la politique se transforme en un champ de bataille où les questions de race et de religion prennent une place centrale. Ce phénomène a des racines profondes dans l'histoire américaine, remontant à la Guerre civile, où les identités tribales étaient également un facteur déterminant. De même, aujourd'hui, les tensions raciales et religieuses sont utilisées par certains partis pour galvaniser leur base électorale. L’ironie réside dans le fait que le Parti républicain, qui autrefois militait pour les droits civiques des Afro-Américains, est désormais perçu par certains comme la force politique qui défend l'ordre social traditionnel, en s'opposant aux avancées des minorités et des femmes.
Ainsi, la montée en puissance du populisme, symbolisée par Trump, peut être comprise non seulement comme une réaction contre des politiques progressistes, mais aussi comme une réponse psychologique à des changements démographiques perçus comme menaçant l’ordre établi. Les partisans de Trump, notamment ceux qui se reconnaissent dans le profil des "dominants sociaux" ou des "suiveurs autoritaires", cherchent avant tout à maintenir une hiérarchie sociale perçue comme naturelle et juste. En cela, le phénomène Trump reflète un profond désir de stabilité face à une société en transformation rapide.
Le concept de tribalité politique n’est pas réservé à un seul camp. Bien que les républicains soient souvent vus comme les principaux acteurs de cette dynamique tribale, les démocrates ne sont pas exempts de telles influences. Les partisans des deux partis, tout comme les fervents supporters d’équipes sportives, forment des groupes solidaires, unis par un même but, un même "adversaire". Mais lorsque cette solidarité tribale franchit une certaine limite, la défaite électorale peut être vécue comme une menace existentielle, menant à un comportement plus radical et, dans certains cas, à un culte de la personnalité autour de figures politiques comme Trump.
Comment le Parti républicain est-il devenu le défenseur de l'anti-gouvernement ?
Au fil de l’histoire politique des États-Unis, un renversement radical des positions idéologiques des deux grands partis a brouillé les lignes entre conservatisme et progressisme. Le Parti républicain, fondé en 1854 par des Nordistes opposés à l’expansion de l’esclavage, était au départ un parti libéral dans le sens le plus classique du terme : il prônait une transformation sociale et politique pour limiter l’institution esclavagiste et préserver l’Union. À cette époque, les Démocrates, enracinés dans le Sud esclavagiste, représentaient la force conservatrice, soucieuse de préserver l’ordre social existant, incluant l’inégalité raciale structurelle.
La mutation idéologique des partis n’obéit à aucune loi linéaire ou rationnelle. Les Républicains d’aujourd’hui, perçus comme les champions du conservatisme américain, incarnent un rejet viscéral de l’intervention de l’État fédéral, alors même que leurs ancêtres politiques voyaient dans le gouvernement un levier de réforme morale et institutionnelle. Le paradoxe s’intensifie lorsque l’on observe que la majorité des Afro-Américains, qui jadis voyaient en Lincoln un libérateur et en son parti un protecteur, votent désormais en faveur des Démocrates, historiquement leurs oppresseurs.
Cette bascule idéologique ne s’explique pas uniquement par un changement de philosophie politique, mais aussi par l’évolution des intérêts électoraux. Les partis, comme des équipes en quête de victoire, ajustent leurs discours et principes à la composition de l’électorat. Le conservatisme du Parti républicain moderne ne découle pas d’un amour de l’ordre pour l’ordre, mais plutôt d’un rejet de l'État en tant qu’acteur redistributeur ou moteur de transformation sociale. Il devient ainsi le parti de l’Ordre non pas au sens classique de maintien de l’équilibre social, mais au sens d’un ordre identitaire et culturel défini par des politiques restrictives : lutte contre l’immigration, durcissement pénal, opposition aux droits des minorités sexuelles, protectionnisme économique, et imposition de normes culturelles majoritaires.
Ce virage s’ancre dans une conception du gouvernement comme force coercitive et intrusive, à laquelle il convient d’arracher la moindre parcelle de liberté. Pourtant, la contradiction est évidente : un parti qui se réclame de la liberté individuelle impose en même temps des normes sociales contraignantes au nom de l’ordre moral.
À travers l’histoire occidentale, le pouvoir a toujours été synonyme de conservation des privilèges. Les monarques, les oligarques, puis les représentants élus ont utilisé le gouvernement pour protéger leur statut. Le conservatisme initial des gouvernants résidait dans leur résistance au changement menaçant leur position. La conception contemporaine du conservatisme républicain aux États-Unis, elle, repose sur une inversion : ce n’est plus le gouvernement qu’il faut protéger, mais l’individu contre lui. Ainsi, un paradoxe s’installe : l’État, autrefois garant de l’ordre et instrument de la classe dirigeante, devient dans le discours républicain une entité presque illégitime, à contenir, à désarmer, à délégitimer.
Dans ce contexte, la pensée de Hobbes retrouve toute sa pertinence. Pour lui, dans l’état de nature, l’homme vit dans un monde chaotique où règne la loi du plus fort, un monde « solitaire, pauvre, méchant, brutal et court ». Seule l’existence d’un Léviathan – un pouvoir souverain absolu – permet de garantir la sécurité. Mais dans l’imaginaire républicain moderne, ce Léviathan est devenu l’ennemi. La croyance prédominante n’est plus que le gouvernement protège les faibles des puissants, mais qu’il menace la liberté individu
Pourquoi les principes républicains américains s’opposent-ils à l’Égalité sociale ?
L’Égalité sociale, loin d’être une notion purement morale ou abstraite, est devenue, aux États-Unis, l’un des terrains les plus conflictuels du débat politique contemporain. Busing des élèves pour déségréguer les écoles, légalisation du mariage homosexuel, égalité des sexes, adoption homoparentale, redistribution fiscale — ces mesures, portées historiquement par une volonté de justice sociale, se heurtent régulièrement à des principes que le Parti républicain place plus haut : l’Ordre et la Liberté.
Chaque avancée en faveur de l’Égalité implique un coût — pas uniquement budgétaire, mais surtout symbolique. Elle entre en tension avec des idéaux fondamentaux du conservatisme américain, qui valorisent l’autorité, la hiérarchie, la responsabilité individuelle. À cet égard, l’opposition républicaine à l’augmentation du salaire minimum, à l’amendement pour l’égalité des droits, ou encore à la prise en compte de l’origine ethnique dans les admissions universitaires ne relève pas d’un simple rejet administratif. Elle constitue une affirmation politique profonde : l’Égalité n’est pas une valeur prioritaire.
La redistribution des richesses, amorcée de manière plus systématique depuis la Grande Dépression des années 1930, a catalysé ce clivage. Si le Parti républicain a été fondé en 1856 sur une promesse d’abolition de l’esclavage et d’égalité des droits, cette dernière notion a glissé, au fil des décennies, vers les marges de ses préoccupations. L’évolution est remarquable : d’un parti militant contre l’oppression raciale, les Républicains se sont mués en défenseurs de structures sociales conservatrices et de libertés économiques réduisant l’espace politique pour des politiques égalitaires.
Ce déplacement idéologique ne saurait être compris sans interroger le lien entre les citoyens et les partis. Les comportements électoraux montrent une constance troublante : la majorité des Américains votent pour le parti auquel ils s’identifient, souvent sans connaître en détail les programmes politiques. Plus de 75 % de l’électorat agit ainsi par réflexe d’identification, souvent hérité de leurs parents, de manière analogue à l’héritage religieux. La fidélité partisane résiste aux changements politiques, tant que les structures sociales restent stables. Mais lorsque la mobilité géographique, l’éducation ou l’immigration modifient la composition d’une population, les allégeances partisanes se recomposent aussi.
Les années 1950 offraient un paysage politique inversé par rapport à aujourd’hui. À cette époque, les zones rurales, les femmes, les Afro-Américains du Sud et les diplômés du supérieur penchaient davantage vers le Parti républicain. Le Sud était un bastion démocrate ; il est aujourd’hui solidement républicain. Le Parti républicain, autrefois associé à la finance new-yorkaise, fonde désormais sa base électorale sur une classe ouvrière blanche, chrétienne, souvent en dehors des grands centres urbains. Ce retournement n’est pas anecdotique : il accompagne et explique l’évolution des principes politiques défendus par le parti.
Les plateformes des partis américains — documents officiels adoptés lors des conventions nationales — témoignent de ces mutations. Elles sont censées définir les objectifs, valeurs et engagements du parti. Longtemps considérées comme insignifiantes ou symboliques, elles se révèlent en réalité de bons indicateurs des comportements politiques à venir. Contrairement à l’adage populaire selon lequel une plateforme serait « quelque chose pour courir dessus, pas pour s’y tenir », des études récentes montrent que les partis tiennent, dans une large mesure, leurs promesses programmatiques.
Les plateformes se composent de trois éléments essentiels : l’éloge des réussites du parti, la dénonciation de l’opposant, et des prises de position sur les enjeux contemporains. C’est dans cette dernière section — souvent la plus longue — que se cristallisent les principes, parfois formulés avec clarté, parfois enveloppés de rhétorique vague. Les expressions de solidarité, les déclarations de valeurs, les lignes de politique à venir forment un ensemble discursif révélateur.
Cependant, l’analyse de plus de 2 700 propositions tirées des quarante et une plateformes républicaines depuis 1856 indique une constante : le recul progressif de l’Égalité comme principe moteur. Ce n’est pas un hasard si les critiques les plus virulentes à l’égard des plateformes viennent d’observateurs étrangers : leur regard, moins emprisonné par l’habitude partisane, décèle plus aisément la vacuité ou l’opportunisme politique. Pourtant, les recherches empiriques récentes redonnent aux plateformes leur poids et leur pertinence, en tant que reflets sincères des orientations politiques dominantes.
Ce que l’électorat oublie souvent, c’est que la structure même de la politique américaine renforce l’inertie des identités partisanes. Là où la logique voudrait que les citoyens choisissent leur parti selon leurs intérêts ou leurs valeurs, la réalité montre que le parti agit comme un cadre identitaire, transmis, reproduit, et seulement remis en question par les ruptures biographiques majeures. Ainsi, les principes défendus par les partis ne sont pas seulement le
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