Les métamodèles de type PCE (Polynomial Chaos Expansion) sont couramment utilisés pour quantifier l'incertitude dans la simulation des phénomènes complexes, tels que l'accrétion de glace sur les surfaces des aéronefs. Cette approche repose sur une modélisation simplifiée des phénomènes physiques tout en conservant un niveau de précision suffisant pour les analyses de sensibilité et les prévisions dans des conditions variées. Dans le contexte de la simulation de l'accrétion de glace, l’utilisation de la méthode PCE permet de relier les paramètres d'entrée (tels que la rugosité de la surface et le rapport entre les coefficients de rugosité) à une forme de glace spécifique, facilitant ainsi l'analyse et la prédiction des conditions de vol sous des perturbations climatiques.

Le processus débute par la création d’un échantillon d’entrée de 120 points, choisis selon une méthode de Latin Hypercube Sampling (LHS), garantissant une couverture uniforme de l’espace des paramètres. Ces points sont utilisés pour simuler l’accrétion de glace en fonction de différents paramètres, comme la rugosité de surface (k) et le rapport de rugosité (ks/k), lesquels influencent directement la forme et l’épaisseur de la glace accumulée. Ces entrées sont ensuite utilisées pour générer deux types de métamodèles : le métamodèle M1, qui prédit l'épaisseur maximale et l'aire transversale de la glace, et le métamodèle M2, qui permet de prédire la forme locale de la glace à plusieurs points d’intérêt simultanément.

L’un des principaux avantages des métamodèles PCE est leur capacité à estimer rapidement la forme de la glace sans avoir à réaliser une simulation CFD (Computational Fluid Dynamics) complète pour chaque jeu de paramètres. Cette simplification est cruciale pour l’étude de scénarios avec de multiples configurations, réduisant considérablement le coût en termes de calculs. Cependant, il est essentiel de vérifier la fiabilité de ces métamodèles en comparant leurs prédictions avec les résultats obtenus par simulation CFD. La précision des métamodèles est quantifiée par le coefficient de régression R2, qui mesure la proximité des résultats de PCE par rapport aux données CFD. Un R2 proche de 1 indique une correspondance élevée entre les prédictions et les résultats réels.

L'erreur de validation croisée, également appelée "leave-one-out" (LOO), permet d’affiner cette évaluation. En excluant successivement chaque échantillon du processus de formation du modèle, on évalue la capacité du métamodèle à prédire correctement les résultats pour des points de données non inclus dans l'entraînement. Une erreur LOO proche de zéro signale une excellente capacité de prédiction du modèle, renforçant ainsi la confiance dans son utilisation pour des analyses futures.

Pour renforcer encore la fiabilité des résultats, une calibration bayésienne est appliquée. Cette technique permet d’ajuster les paramètres d’entrée du modèle en fonction des observations de formes de glace issues de la littérature, en maximisant la probabilité de correspondance entre les sorties du modèle et les données réelles. La méthode bayésienne repose sur le théorème de Bayes, qui met à jour les probabilités des paramètres en fonction des données observées. L'inversion bayésienne, couplée à l'utilisation de la méthode MCMC (Markov Chain Monte Carlo), permet d’explorer l’espace des paramètres et d’estimer les distributions postérieures, donnant ainsi des valeurs de paramètres plus précises qui optimisent la prédiction de la forme de glace. L'algorithme utilisé dans l’étude est le Metropolis-Hastings, et il est configuré pour réaliser 70 000 itérations avec 15 chaînes, permettant une exploration approfondie des paramètres d’entrée.

Lors de l’application pratique de cette méthodologie, des cas de test de glace, comme les tests NASA31, NASA32 et NASA36, sont utilisés pour valider le modèle. Ces tests, qui simulent l'accrétion de glace sur un profil d’aile NACA0012, permettent d'évaluer l’influence de divers facteurs climatiques et géométriques sur la formation de la glace. L'analyse des résultats montre que les métamodèles PCE offrent une représentation fiable de la formation de glace et peuvent être utilisés pour prédire les conditions de vol dans des environnements où l'accumulation de glace pourrait affecter les performances de l'aéronef.

La méthode de calibration bayésienne présente un grand intérêt, en particulier dans des environnements où les conditions atmosphériques varient considérablement et où les données expérimentales peuvent être limitées. Grâce à l’inversion bayésienne, il est possible de retrouver les paramètres d’entrée les plus probables qui reproduisent les formes de glace observées, en prenant en compte des incertitudes inhérentes aux mesures expérimentales.

Enfin, bien que cette approche offre des avantages considérables en termes de précision et de réduction des coûts de simulation, il est important de souligner que la fiabilité des résultats dépend fortement de la qualité et de la diversité des données utilisées pour la création des métamodèles. Une meilleure couverture de l'espace des paramètres et l'intégration de données expérimentales plus nombreuses et variées permettrait de renforcer encore la robustesse des prédictions.

Comment l'optimisation robuste peut-elle améliorer la protection contre le givre des systèmes électrothermiques ?

Dans le cadre de l’optimisation des systèmes de protection électrothermique contre le givre, la gestion des incertitudes liées aux conditions environnementales est cruciale. Le modèle d'optimisation robuste permet de traiter ces incertitudes, notamment les variations de température, et d'améliorer la performance des surfaces aérodynamiques, comme les profils d’aile, en minimisant la formation de glace.

L’optimisation robuste présentée dans l’étude repose sur un algorithme d'optimisation basé sur la méthode MADS (Mesh Adaptive Direct Search). L’objectif est de maximiser la probabilité d’absence de formation de glace (P(Ṁice = 0)), tout en minimisant le taux de formation de glace sur toute la surface de l’aile. Ce processus commence par l'évaluation des configurations de base et la génération de points d'essai à partir de l'espace incertain des variables, à l'aide de l'échantillonnage de Latin hypercube. Ces échantillons sont ensuite utilisés pour entraîner un modèle de substitution, permettant d'évaluer la performance de chaque solution possible dans un cadre incertain.

Une fois le modèle de substitution construit, une propagation de l'incertitude via un échantillonnage de Monte Carlo est effectuée pour obtenir les quantités d’intérêt robustes. À chaque itération, l’algorithme met à jour la configuration optimale si l'itération produit une amélioration par rapport au point précédent, jusqu'à ce qu’un seuil de convergence soit atteint. Cette approche itérative permet une convergence rapide, généralement en 200 à 300 évaluations, avec des coûts de calcul réduits grâce à la réduction du nombre d'évaluations par rapport aux méthodes classiques comme l’algorithme génétique, qui nécessiterait des milliers d’évaluations.

Les résultats montrent que l’optimisation robuste améliore considérablement la probabilité de non-formation de glace par rapport à la configuration de base. Selon les simulations réalisées avec deux différentes bornes d'incertitude (B1 et B2), les performances du système optimisé varient légèrement mais restent significativement meilleures que celles du design initial. Par exemple, pour les bornes B1, la réduction du quantile de 95 % du taux d’accumulation de glace par rapport à la configuration de base est de 7,72 %, tandis que pour B2, bien que la réduction du quantile ne fût pas l’objectif principal, elle atteint 5,51 %.

Il est important de noter que l’asymétrie dans la formation de glace entre les côtés pression et aspiration de l'aile a été prise en compte. Les configurations optimisées présentent des résultats presque symétriques, ce qui montre que l’optimisation prend en compte l’équilibre de la formation de glace sur toute la surface de l’aile. Ce phénomène est essentiel, car dans un scénario idéal, le givre ne devrait pas se former de manière asymétrique, ce qui pourrait compromettre la performance de l'aéronef.

En ce qui concerne le coût computationnel, l’optimisation robuste permet une réduction significative du temps de calcul. Les algorithmes classiques nécessitent un nombre élevé d’évaluations de fonction, ce qui entraîne un coût élevé en termes de temps et de ressources. Cependant, l’optimisation robuste permet d'atteindre une convergence avec un nombre relativement faible d’évaluations. Cela est particulièrement pertinent dans des environnements industriels où les ressources de calcul sont limitées.

Il est également important de souligner que, bien que l’optimisation robuste soit efficace pour minimiser la formation de glace, il reste essentiel de continuer à surveiller les résultats en fonction des conditions réelles de vol. Les résultats obtenus en simulation peuvent différer légèrement de ceux en conditions réelles en raison de facteurs non modélisés, comme les variations soudaines de température ou d’humidité. Par conséquent, bien que l'optimisation robuste fournisse une approche solide pour le design aérodynamique, les ajustements en fonction des retours opérationnels doivent toujours être envisagés.

Les mécanismes de déformation et de rupture des gouttelettes liquides sous l'influence d'un flux aérodynamique : étude et modélisation

Les gouttelettes liquides, lorsqu'elles interagissent avec des surfaces ou des flux gazeux, font l’objet de phénomènes complexes de déformation et de rupture. Cette dynamique est primordiale dans des domaines aussi variés que la mécanique des fluides multiphases, l’aérodynamique, et la gestion du givrage, pour n’en nommer que quelques-uns. La déformation et la fragmentation des gouttes peuvent être influencées par plusieurs facteurs, dont la viscosité du liquide, l’intensité et la direction du flux aérodynamique, ainsi que la nature de la surface avec laquelle la goutte entre en contact.

Les phénomènes de rupture des gouttelettes, souvent modélisés à l’aide de la méthode des réseaux de Boltzmann, ont été largement étudiés dans la littérature scientifique. Par exemple, Krzeczkowski (1980) a exploré les mécanismes de dislocation des gouttes liquides, en mettant l’accent sur la manière dont des gouttes peuvent se fragmenter sous des conditions de flux intensifiés. Kulkarni et Sojka (2014) ont approfondi l’étude du phénomène de rupture en étudiant l’effet d’un jet d’air continu sur les gouttes à faible viscosité, démontrant comment une déformation excessive peut conduire à une fragmentation.

Les modèles numériques basés sur la méthode Lattice Boltzmann, comme ceux développés par Li et al. (2014), ont permis d’obtenir une meilleure compréhension des interactions entre les gouttes et les surfaces superhydrophobes. Ces modèles permettent de simuler des phénomènes de mouillage et de déformation, en tenant compte des conditions d’écoulement complexes, comme la présence de jets d'air ou de courants à haute vitesse. En parallèle, d’autres études expérimentales, telles que celles menées par Mundo et al. (1995), ont permis de clarifier les mécanismes de déformation et de rupture des gouttes lors de collisions avec des surfaces solides.

Un autre aspect fondamental dans la compréhension du comportement des gouttelettes est l’étude de leur congélation, qui est un processus essentiel pour comprendre des phénomènes comme le givrage des aéronefs ou la formation de cristaux de glace dans les atmosphères froides. Zhang et al. (2020b) ont proposé une étude approfondie des dynamiques de congélation des gouttes d'eau super-refroidies en contact avec des surfaces froides. L’étude des variations de forme et des formations uniques de pointes lors de la congélation d’une goutte est cruciale pour comprendre comment ces gouttes interagissent avec des surfaces à température sub-nulle.

Un domaine d’étude particulièrement pertinent dans ce contexte est la gestion des écoulements dans les systèmes multiphases, notamment en aérodynamique. La rupture aérodynamique des gouttes sous l’influence de jets d’air et de courants turbulents est un phénomène bien documenté. Les recherches de Sojka et Guildenbecher (2011) ont montré que des charges électrostatiques à la surface des gouttes peuvent modifier leur comportement de fragmentation sous des flux aérodynamiques intenses. Cette découverte ouvre des perspectives intéressantes pour les applications industrielles où l’on cherche à contrôler ou à exploiter les caractéristiques de fragmentation des gouttes dans les processus de combustion, de pulvérisation ou de protection contre le givrage.

Dans le cadre de la modélisation numérique des phénomènes de déformation et de rupture, les approches basées sur des schémas de type Lattice Boltzmann sont privilégiées pour leur capacité à traiter des écoulements multiphases à grande échelle avec un bon niveau de précision. Cependant, les défis demeurent, notamment en ce qui concerne la conservation de la masse et la réduction des vagues parasites au niveau des interfaces, un problème auquel ont contribué des travaux récents tels que ceux de Solomenko et al. (2017). Ces études montrent que la gestion des interfaces dans les simulations numériques est un enjeu fondamental pour obtenir des résultats fiables.

La dynamique de l’impact et de la coalescence des gouttes joue également un rôle clé dans la détermination du comportement final des gouttes après collision. Lee et Son (2011) ont étudié l'impact des gouttes sur des surfaces microstructurées, un sujet pertinent pour les applications de microfabrication et de modélisation des processus industriels. En outre, l’étude de l’impact de gouttes super-refroidies sur des surfaces permet de mieux comprendre les phénomènes de formation de cristaux de glace et leur impact sur des structures sensibles comme les ailes des avions en vol. De nombreuses études ont ainsi été réalisées pour simuler l'impact et la congélation de gouttes sous des températures sub-nuelles, un domaine critique dans le contexte du givrage aéronautique.

Les approches modernes, telles que les simulations en phase-champ, sont capables de simuler de manière détaillée la formation et la dynamique des cristaux de glace sur les gouttes en fusion ou en congélation. Ces travaux permettent de mieux comprendre l’évolution des gouttes sous l’effet de conditions de température et d’humidité extrêmes, ce qui est essentiel pour la modélisation de phénomènes naturels ou industriels où des changements rapides de température surviennent.

Il est important de noter que, bien que ces modèles numériques et expérimentaux aient grandement enrichi notre compréhension de la dynamique des gouttes liquides et de leur interaction avec les surfaces et flux, il reste encore de nombreuses questions ouvertes, notamment en ce qui concerne la variabilité des comportements des gouttes dans des environnements réalistes, soumis à des conditions instables et non linéaires. Le raffinement de ces modèles et leur validation expérimentale sont des étapes cruciales pour leur application dans des domaines aussi divers que la conception d’aéronefs, la gestion de la pulvérisation agricole, ou encore la fabrication de dispositifs microscopiques.

Comment les numéros de Biot et de Stefan influencent la simulation du gel des gouttes super-refroidies pendant le vol

La simulation du comportement thermique des gouttes super-refroidies, notamment durant leur processus de congélation, repose sur plusieurs paramètres dimensionnels essentiels, dont les numéros de Biot et de Stefan. Ces paramètres jouent un rôle clé dans la précision des modèles de simulation, en particulier pour l’analyse de la dynamique de température à l’intérieur de la goutte et sur sa surface.

Les résultats de l’expérience de Hindmarsh et al. (2003) et des simulations effectuées par Carvalho et al. (2021) montrent que, pour des valeurs relativement faibles des numéros de Biot, à savoir Bi = 0.1146, Bim = 0.0047, et Bir = 0.0012, la température au sein de la goutte est assez uniforme, ce qui explique pourquoi les valeurs de température obtenues convergent rapidement vers des résultats cohérents, même pour des ordres de troncature relativement bas, tels que M = 10. Ces résultats sont confirmés par les valeurs obtenues pour différents ordres de troncature M, allant de 10 à 60, montrant une convergence stable des températures dans toute la goutte, ainsi qu’une convergence rapide des temps de nucléation, tn. Cela indique que les hypothèses de distribution spatiale uniforme de la température sont valables dans ce cas particulier, ce qui simplifie considérablement la modélisation numérique.

Une attention particulière est portée sur les phases de recalescence et de solidification, où la présence d’une quantité de glace générée au sein de la goutte devient un facteur déterminant. Lors de la phase de recalescence, la température de la surface de la goutte présente une certaine variation en fonction de l'hypothèse adoptée pour la distribution de la glace. Si l'on considère un anneau de glace à la surface de la goutte, les températures de surface sont légèrement plus basses que dans le cas d’une distribution uniforme de la glace. Cependant, les différences entre ces deux modèles restent relativement faibles, ce qui met en évidence la robustesse de l’approche basée sur une température uniforme.

Le numéro de Biot, un paramètre clé en transfert thermique, représente le rapport entre la résistance thermique due à la conduction et celle due à la convection à la surface de la goutte. Il est crucial dans l’évaluation de la précision des modèles de simulation thermique, car il permet d’établir l’équilibre entre la conduction thermique interne et la convection à la surface. Pour des valeurs faibles de Biot, telles que Bi = 0.1, la température à l’intérieur de la goutte est uniforme, ce qui facilite l’utilisation de modèles réduits comme le CIEA (Continuous Integral Equation Approach), tout en offrant des résultats proches de ceux obtenus par des méthodes plus complexes telles que GITT (Generalized Integral Transforms Technique). Ce phénomène est illustré par l’évolution de la température sans dimension à la surface de la goutte pour différentes valeurs de Biot (0.1, 1.0, 5.0, 10.0), où il est observé que l’approximation H0,0/H0,0 de CIEA donne des résultats très proches des solutions GITT pour Bi = 0.1, mais devient moins précise pour des valeurs de Bi plus élevées.

En effet, à mesure que le numéro de Biot augmente, la divergence entre les approximations et les résultats GITT devient plus marquée. Pour des valeurs élevées de Bi, telles que Bi = 5 ou 10, l'approximation H0,0/H0,0 se dégrade, car elle ne prend pas en compte suffisamment de détails liés aux conditions aux limites de la surface de la goutte, notamment les dérivées de température. Cependant, une approximation plus complexe, telle que H1,1/H0,0, reste efficace, même à des valeurs élevées de Biot, et continue de fournir des résultats relativement précis pour les températures de surface, comme le montre la comparaison avec les solutions GITT.

Une autre variable essentielle dans l’étude du gel des gouttes est le numéro de Stefan, qui caractérise l’équilibre entre la chaleur sensible et la chaleur latente pendant la transition de phase. L’analyse des résultats de la phase de solidification met en évidence l'impact de variations du numéro de Stefan (St) sur le comportement thermique du système. En augmentant le numéro de Stefan, on observe que la chaleur sensible devient plus prédominante par rapport à la chaleur latente, ce qui entraîne des variations de température plus marquées pendant le changement de phase. Les résultats obtenus indiquent qu’un St plus élevé (par exemple, 0.20 contre 0.11) réduit le temps de congélation, ce qui a des implications importantes dans des systèmes où la gestion thermique doit être optimisée.

Il est ainsi primordial, pour une modélisation précise de la congélation des gouttes super-refroidies, de bien comprendre l’interdépendance de ces paramètres dimensionnels. Les variations des numéros de Biot et de Stefan influencent non seulement la distribution de la température au sein de la goutte, mais aussi la durée des différentes étapes du processus de congélation. Une compréhension approfondie de ces phénomènes est donc essentielle, notamment pour des applications industrielles où le contrôle des processus thermiques peut avoir un impact significatif sur la qualité et la performance des systèmes impliqués.

Les valeurs de Biot et Stefan ne sont pas uniquement des paramètres théoriques ; elles jouent un rôle central dans la conception et l’amélioration des modèles de simulation. En effet, ces paramètres doivent être soigneusement ajustés en fonction des conditions expérimentales spécifiques et des caractéristiques du système étudié. Une meilleure compréhension de leur influence peut conduire à des optimisations significatives dans les applications réelles, telles que la congélation des gouttes de carburant en aéronautique ou les systèmes de pulvérisation dans les moteurs.