Le decorum, notion ancienne et pourtant toujours d’actualité, repose sur l’idée que tout discours – oral ou écrit – doit répondre à des attentes esthétiques, sociales, éthiques et linguistiques propres à son contexte. Il ne s’agit pas d’un simple code de bienséance, mais d’un équilibre stratégique à atteindre entre le locuteur, le public, les circonstances et l’intention du discours. La réussite rhétorique dépend ainsi de cette capacité à doser avec justesse ce qui convient, à quel moment, pour qui, et de quelle manière.
Cicéron, maître incontesté de la rhétorique antique, voyait dans le decorum un lien vital entre le style et le jugement. Selon lui, savoir ce qui est approprié dans une situation donnée exige non seulement un talent naturel et une formation rigoureuse, mais aussi une forme d’intelligence pratique : la sagacité. Le style doit donc être en adéquation non seulement avec le sujet traité, mais aussi avec les attentes tacites de l’auditoire et la solennité de l’occasion. Ainsi, la rhétorique ne peut être simplement perçue comme un exercice esthétique ou technique ; elle est, dans sa forme la plus noble, un art profondément moral.
Ce caractère moral du decorum s'illustre clairement dans les discours funèbres, où l'exigence de convenance atteint son paroxysme. L'exemple contemporain d’un homme relatant au cours d’un éloge funèbre une visite dans un bordel avec son oncle, illustre l’effondrement du decorum lorsque la sagacité pratique fait défaut. Ce genre de dérapage a d’ailleurs conduit l’archevêché catholique du New Jersey à interdire les hommages funèbres par des laïcs, tant les transgressions étaient devenues fréquentes. Le contexte exigeait un ton mesuré, grave, respectueux ; le décalage entre le contenu de l’éloge et l’attente du public a transformé le moment en rupture communicative.
À l’inverse, l’oraison funèbre prononcée par Henry “Light Horse Harry” Lee à la mort de George Washington, le 26 décembre 1799, offre un modèle exemplaire d’adéquation entre forme et fond, moment et mémoire collective. Loin de toute exubérance personnelle, Lee incarne avec humilité la voix d’un peuple endeuillé, conscient de la perte incommensurable que représente la disparition du fondateur de la république américaine. Le style élevé, presque liturgique, épouse la solennité du moment. Les images déployées – la grandeur morale, les batailles décisives, l'endurance face aux épreuves – rendent hommage à la stature presque mythique de Washington tout en réaffirmant les valeurs fondatrices de la nation.
La rhétorique de Lee ne cherche pas à émouvoir par des anecdotes triviales ou des effets faciles ; elle élève l’auditoire, le rend participant d’un moment de communion civique. C’est dans cette capacité à traduire en mots la profondeur d’une perte collective sans sombrer dans la grandiloquence déplacée que le decorum atteint son expression la plus aboutie.
Ce discours ne se contente pas de retracer la biographie d’un homme : il construit une mémoire, fonde une légende, inscrit Washington dans l’histoire longue de la vertu républicaine. Le style est soutenu, voire archaïsant à nos yeux, mais il répond à une attente implicite de majesté. Ce qui serait emphatique ou affecté dans un autre contexte devient ici une exigence du moment. L’art de l’éloge, quand il est bien exercé, ne consiste pas à dire ce qu’on ressent, mais à ressentir ce qu’on doit dire, selon les impératifs du lieu, du temps, et du public.
Dans l’analyse de tels exemples, il devient évident que le decorum ne peut être réduit à un code figé ou à une convention sociale désuète. Il est un mécanisme vivant, modelé par l’histoire, les cultures, les situations. Son apparente souplesse – car ce qui est acceptable dans un congrès militaire ne l’est pas forcément dans une église ou dans un amphithéâtre académique – cache une complexité éthique et esthétique profonde.
Ce que le lecteur doit saisir, au-delà des exemples donnés, c’est que le decorum constitue un fondement invisible mais structurant de toute communication significative. Il demande une attention constante au contexte, une sensibilité à l’altérité, et une maîtrise du langage qui dépasse l’éloquence pure. C’est un art de l’à-propos, mais aussi un exercice de responsabilité – car mal calibré, le discours ne provoque pas seulement l’ennui ou la gêne : il peut devenir une offense, une rupture du lien symbolique entre locuteur et auditoire.
La liberté de Dieu : Un défi pour la raison humaine et la théologie chrétienne
La liberté de Dieu, selon laquelle Il aurait pu faire le contraire de tout ce qu'Il a effectivement fait, engendre des positions qui se rapprochent de celles d'Ibn Hazm et qui pourraient même aboutir à l'image d'un Dieu capricieux, n'étant même pas lié à la vérité ou à la bonté. La transcendance et l'altérité de Dieu sont tellement exaltées que notre raison, notre sens du vrai et du bien, ne sont plus un reflet authentique de Dieu, dont les possibilités profondes demeurent éternellement inaccessibles et cachées derrière ses décisions réelles. Toutefois, la foi de l'Église a toujours insisté sur le fait qu'entre Dieu et nous, entre son esprit créateur éternel et notre raison créée, il existe une véritable analogie. Comme l'a affirmé le Concile de Latran IV en 1215, l'inégalité demeure infiniment plus grande que la ressemblance, mais sans abolir l'analogie et son langage. Dieu ne devient pas plus divin en nous éloignant de Lui dans un volontarisme pur et impénétrable ; au contraire, le Dieu véritablement divin est celui qui s'est révélé comme le Logos et, en tant que Logos, a agi et continue d'agir aimablement en notre faveur.
L'amour, comme l'écrit saint Paul, « transcende » la connaissance et est ainsi capable de percevoir plus que la pensée seule (cf. Éph 3:19) ; néanmoins, il continue d'être l'amour du Dieu qui est Logos. Par conséquent, le culte chrétien est, pour citer encore Paul, « λογικη λατρεία », un culte en harmonie avec la Parole éternelle et avec notre raison (cf. Rom 12:1). Cette convergence entre la foi biblique et l'investigation philosophique grecque a été un événement d'une importance décisive non seulement du point de vue de l'histoire des religions, mais aussi de l'histoire mondiale – un événement qui nous concerne encore aujourd'hui. Il n'est donc pas surprenant que le christianisme, malgré ses origines et certains développements importants en Orient, ait finalement pris son caractère décisif historiquement en Europe.
On peut aussi exprimer cela autrement : cette convergence, avec l'ajout ultérieur de l'héritage romain, a créé l'Europe et reste la base de ce que l'on peut légitimement appeler l'Europe. La thèse selon laquelle l'héritage grec, purifié de manière critique, fait partie intégrante de la foi chrétienne a été contrebalancée par l'appel à une déhellénisation du christianisme – un appel qui a de plus en plus dominé les discussions théologiques depuis le début de l'âge moderne. Si l'on y regarde de plus près, trois étapes peuvent être observées dans le programme de déhellénisation : bien qu'elles soient interconnectées, elles sont clairement distinctes les unes des autres dans leurs motivations et leurs objectifs.
La déhellénisation apparaît d'abord en lien avec les postulats de la Réforme au XVIe siècle. En observant la tradition de la théologie scolastique, les Réformateurs pensaient se retrouver face à un système de foi totalement conditionné par la philosophie, c'est-à-dire une articulation de la foi fondée sur un système de pensée étranger. Par conséquent, la foi ne semblait plus être une Parole vivante et historique, mais un élément d'un système philosophique global. Le principe de sola scriptura, quant à lui, recherchait la foi dans sa forme pure et primordiale, telle qu'on la trouvait originellement dans la Parole biblique. La métaphysique apparaissait comme une prémisse dérivée d'une autre source, dont la foi devait être libérée afin de redevenir pleinement elle-même. Quand Kant affirmait qu'il devait mettre la pensée de côté pour faire place à la foi, il portait ce programme encore plus loin avec un radicalisme que les Réformateurs n'auraient jamais pu anticiper. Il ancrait ainsi la foi exclusivement dans la raison pratique, lui niant l'accès à la réalité dans son ensemble.
La théologie libérale des XIXe et XXe siècles a introduit une deuxième phase dans le processus de déhellénisation, avec Adolf von Harnack comme représentant majeur. À mon époque d'étudiant, et dans les premières années de mon enseignement, ce programme était très influent également dans la théologie catholique. Il prenait pour point de départ la distinction de Pascal entre le Dieu des philosophes et le Dieu d'Abraham, Isaac et Jacob. Dans mon cours inaugural à Bonn en 1959, j'ai tenté d'aborder cette question, et je ne compte pas répéter ici ce que j'y ai dit, mais je voudrais au moins décrire brièvement ce qui était nouveau dans cette deuxième phase de déhellénisation.
L'idée centrale de Harnack était de revenir simplement à l'homme Jésus et à son message simple, sous les accretions de la théologie et de l'hélénisation. Ce message simple était vu comme le point culminant du développement religieux de l'humanité. Jésus était censé avoir mis fin au culte au profit de la morale. En fin de compte, il était présenté comme le père d'un message moral humanitaire. Fondamentalement, l'objectif de Harnack était de ramener le christianisme en harmonie avec la raison moderne, en le libérant, c'est-à-dire, des éléments philosophiques et théologiques apparemment étrangers, tels que la foi dans la divinité du Christ et le Dieu trinitaire. En ce sens, l'exégèse historique-critique du Nouveau Testament, telle qu'il la voyait, rendait à la théologie sa place au sein de l'université : pour Harnack, la théologie est quelque chose d'essentiellement historique et donc strictement scientifique. Ce qu'elle pouvait dire de manière critique sur Jésus était, pour ainsi dire, une expression de la raison pratique et, en conséquence, elle pouvait revendiquer une place légitime au sein de l'université.
Ce mode de pensée est sous-tendu par la limitation moderne de la raison, exprimée classiquement dans les "Critiques" de Kant, mais radicalisée par l'impact des sciences naturelles. Ce concept moderne de la raison repose, pour le dire brièvement, sur une synthèse entre le platonisme (cartésianisme) et l'empirisme, une synthèse confirmée par le succès de la technologie. D'une part, il suppose la structure mathématique de la matière, sa rationalité intrinsèque, ce qui permet de comprendre comment la matière fonctionne et de l'utiliser efficacement : cette prémisse fondamentale est, pour ainsi dire, l'élément platonicien dans la compréhension moderne de la nature. D'autre part, il y a la capacité de la nature à être exploitée pour nos fins, et ici seule la possibilité de vérification ou de falsification par l'expérimentation peut offrir une certitude décisive.
Cela donne naissance à deux principes cruciaux pour notre sujet. D'abord, seule la certitude résultant de l'interaction des éléments mathématiques et empiriques peut être considérée comme scientifique. Tout ce qui prétend être scientifique doit être mesuré à l'aune de ce critère. D'où la tentative des sciences humaines, telles que l'histoire, la psychologie, la sociologie et la philosophie, de se conformer à ce canon de scientificité. Ensuite, ce qui est important pour nos réflexions, c'est que par sa nature même, cette méthode exclut la question de Dieu, la rendant une question non scientifique ou pré-scientifique. Nous faisons ainsi face à une réduction du rayon de la science et de la raison, réduction qui mérite d'être interrogée.
Pourquoi l’Iran persécute-t-il ses intellectuels, minorités et dissidents ?
En Iran, l’état actuel des droits humains est profondément alarmant. Selon Amnesty International, 210 personnes ont été exécutées cette année, dont 21 seulement le matin du 5 septembre. Ce chiffre englobe au moins deux enfants, illustrant tragiquement que l’Iran est à la tête du monde dans l’exécution de mineurs, selon Human Rights Watch. Ces exécutions, particulièrement nombreuses en juillet et août, ont souvent été publiques, ce qui constitue une violation flagrante du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, auquel l’Iran est pourtant partie. Cette répression s’inscrit dans un contexte plus large de lutte contre les efforts en faveur d’une société iranienne plus ouverte et démocratique. Elle cible en particulier les étudiants activistes, les universitaires et les intellectuels, accusés d’orchestrer une « révolution douce ». L’emprisonnement, la détention en isolement prolongé, ainsi que les départs forcés à la retraite de nombreux chercheurs en sont des manifestations concrètes.
Le régime iranien entretient une peur obsessionnelle des expressions dissidentes, ce qui s’exprime notamment dans l’usage abusif de la loi sur la presse pour censurer et punir ceux qui critiquent le pouvoir. Ce contrôle autoritaire de la parole s’accompagne d’une politique systématique de persécution contre des groupes vulnérables : les femmes, les membres de la foi baha’ie, les homosexuels et nombre d’universitaires indépendants. Cette stratégie vise à étouffer toute velléité de contestation ou de changement. La détention en isolement de 105 jours subie par la chercheuse Dr. Esfandiari, sous prétexte d’un complot américain pour une révolution de velours, illustre cette paranoïa étatique.
Sur le plan international, le régime iranien a multiplié les provocations et déclarations incendiaires. Négationniste de la Shoah, il organise des conférences dédiées à la diffusion de ce révisionnisme, niant la mémoire et la vérité historique la plus documentée de l’histoire moderne. Ces propos ne sont pas de simples erreurs d’appréciation, mais un outil de propagande dangereuse qui nourrit l’antisémitisme et déstabilise le dialogue international. Par ailleurs, l’Iran a menacé explicitement l’existence même de l’État d’Israël, évoquant son effacement du « carte ». De telles déclarations exacerberont les tensions dans une région déjà fragilisée.
Les liens entre l’Iran et diverses organisations terroristes reconnues, telles que le Hezbollah, le Hamas et le Jihad islamique palestinien, sont bien documentés. Ce soutien matériel et idéologique à des groupes violents alimente les conflits au Moyen-Orient, compromettant la paix et la stabilité régionale. De plus, l’Iran est accusé de livrer des armes sophistiquées à des milices chiites en Irak, participant ainsi à un conflit par procuration qui met en danger la vie de soldats américains et locaux. Ces actions contribuent à la dégradation des relations internationales et justifient l’imposition de sanctions sévères par le Conseil de sécurité des Nations unies.
La poursuite du programme d’enrichissement d’uranium par l’Iran malgré les pressions internationales soulève de graves inquiétudes. Bien que le gouvernement revendique un usage pacifique de l’énergie nucléaire, ses menaces militaires récurrentes envers ses voisins, son non-respect des obligations de vérification et ses manœuvres dilatoires face aux agences internationales témoignent d’une volonté d’affirmation stratégique agressive. Cette obstination expose son propre peuple à des sanctions économiques lourdes qui aggravent leurs conditions de vie et créent un climat d’insécurité global.
Il est crucial de saisir que cette situation ne résulte pas uniquement d’un régime autoritaire mais d’une lutte d’une société qui aspire à la liberté, à la justice et au respect des droits fondamentaux. Les actes de répression et les discours belliqueux ne doivent pas masquer les forces vives de l’Iran, composées d’intellectuels, d’étudiants, et de citoyens engagés qui refusent la fatalité de la tyrannie. Comprendre l’importance de leur combat, tout en dénonçant les dérives du pouvoir, permet de mieux appréhender les dynamiques complexes à l’œuvre dans ce pays et leurs répercussions internationales. La mémoire historique, la liberté d’expression, la solidarité avec les victimes de persécutions et la vigilance face aux politiques destructrices sont des éléments essentiels pour éclairer ce tableau et pour soutenir les aspirations légitimes à un avenir démocratique et pacifique.
Comment identifier et saisir les opportunités de richesse dans votre ville ?
L'homme qui vénère l'argent sans considérer les fins pour lesquelles il devrait être utilisé, celui qui idolâtre simplement l'argent, l'avare qui le garde dans son sous-sol ou le cache dans son coffre, ou celui qui refuse de l'investir là où il pourrait être bénéfique au monde, cet homme qui serre son argent jusqu'à ce que l'aigle sur la pièce crie, porte en lui la racine de tous les maux. Il est essentiel de comprendre que la véritable valeur ne réside pas dans la simple accumulation, mais dans l'utilisation responsable et bienveillante de ce que l’on possède.
La question que beaucoup se posent alors est : « Y a-t-il une opportunité de devenir riche à Philadelphie ? » Cela semble simple à première vue, et pourtant, une fois que l’on a repéré cette opportunité, elle devient immédiatement la nôtre. Un homme âgé pourrait se lever et dire : « Monsieur Conwell, vous vivez à Philadelphie depuis plus de trente ans et vous ne savez pas qu'il est trop tard pour faire fortune ici ? » À cela, je réponds simplement : « Je ne pense pas que ce soit le cas. » Bien sûr, certains prétendent avoir tout essayé sans succès, mais cette perspective découle souvent d’une vision limitée de l'opportunité elle-même.
Certains diront que faire des affaires aujourd'hui est devenu impossible dans la ville. Mais ces individus n'ont pas vu qu'à quelques pâtés de maisons, il existe des besoins non comblés, des opportunités qui attendent d'être saisies. La richesse peut se trouver à un simple bloc de distance, il suffit d'observer attentivement les besoins et d'agir en conséquence. Si vous prenez seulement quelques rues autour de vous et vous demandez ce que les gens recherchent, vous découvrirez que l’opportunité de prospérer est bien réelle.
Je me souviens de mon propre passé dans une petite épicerie, où j'ai appris d'une manière parfois brutale les principes fondamentaux du commerce. Beaucoup d’entre nous ont du mal à comprendre que les principes du succès dans les affaires sont indissociables des principes de la foi et de la moralité. À l’époque, en répondant avec indifférence à des demandes répétées, je ne comprenais pas que répondre à ces besoins était non seulement la voie vers la satisfaction personnelle, mais aussi vers le succès commercial. Si j'avais pris l’habitude de répondre aux besoins des clients avec plus de soin, de prévoyance, et de respect, je serais devenu un meilleur commerçant, tout en aidant mes concitoyens. Une entreprise qui ne se soucie pas des besoins de ses clients est condamnée à l’échec.
Dans le commerce, comme dans la vie, la clé réside dans le principe de "vivre et laisser vivre". Il est inévitable que vous fassiez des profits dans toute transaction, mais il n’y a rien de mal à cela, tant que ces profits ne sont pas réalisés au détriment des autres. L'idée n'est pas de faire fortune à tout prix, mais de créer une relation mutuellement bénéfique, où chacun trouve son compte. En ce sens, celui qui réussit à prospérer tout en apportant de la valeur à son environnement devient un véritable contributeur à la société.
Certains prétendent ne pas avoir les ressources nécessaires pour se lancer dans les affaires, mais la véritable richesse ne dépend pas uniquement de l'argent, elle dépend de la capacité à identifier et exploiter les opportunités qui nous entourent. Cette peur de l’échec, souvent liée à la croyance que l’on doit absolument posséder un capital pour réussir, empêche de nombreux individus d’agir. Cependant, cette limitation est une illusion : les opportunités sont omniprésentes, il suffit de regarder attentivement autour de soi.
C’est en allant au-delà de l’auto-apitoiement et en se concentrant sur ce que l’on peut apporter aux autres que l’on trouve les véritables opportunités de richesse. Le commerce, tout comme toute autre activité, doit être abordé avec l'idée de rendre service, de répondre aux besoins des autres, tout en maintenant une juste réciprocité. Chaque fois que nous choisissons d’apporter de la valeur aux autres, nous récoltons les fruits de cet engagement. Ceux qui voient les autres uniquement comme des sources potentielles de profit finissent par échouer, tandis que ceux qui s’efforcent d’améliorer la vie des autres, tout en poursuivant leurs propres intérêts, réussissent à créer de véritables richesses, non seulement matérielles, mais aussi humaines.
Il est primordial de comprendre que les opportunités de richesse ne se limitent pas à des circonstances exceptionnelles, elles se trouvent dans le quotidien, dans les petites actions et les choix que nous faisons chaque jour. L'opportunité réside dans la manière dont nous abordons les besoins autour de nous, dans la manière dont nous voyons les relations humaines et dans la façon dont nous choisissons de nous engager dans le monde. L'échec n’est pas dû à la pénurie d'opportunités, mais à la fermeture de l'esprit et du cœur à ces possibilités qui sont juste devant nous. Pour devenir riche, il faut savoir voir ce que les autres ne voient pas et agir là où d’autres n’osent pas.
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