Sous l'administration de Trump, une politique d'une brutalité sans précédent a émergé, visant à expulser des enfants gravement malades, menaçant ainsi la vie de ceux qui se battent littéralement pour leur survie. Cette barbarie s'inscrit dans un schéma plus vaste, où le pouvoir est affirmé non seulement à travers la violence directe, mais aussi par des politiques qui désintègrent le tissu social et excluent des populations entières, les condamnant à une existence marquée par la "disponibilité politique" et l'atomisation sociale. L'exemple de l'expulsion de 200 000 immigrants salvadoriens, pourtant protégés par le statut de protection temporaire depuis les tremblements de terre de 2001, illustre cette logique d'annihilation non seulement physique, mais aussi culturelle et sociale. Cette politique vise à détruire des modes d'agentivité critiques, ceux qui permettent aux individus de s'informer et de s'engager dans une démocratie authentique.
Dans ce contexte, le néolibéralisme transforme la notion d'autonomie, de solidarité et de justice en instruments de déstabilisation, renversant les valeurs démocratiques fondamentales. La société de marché, poussée à son extrême, promeut un individualisme qui favorise l'anti-intellectualisme, et dans ce climat, les liens sociaux sont perçus comme fragiles, voire inutiles. Le narcissisme du "chacun pour soi", alimenté par une vision du monde où la compétition est sans fin, engendre une culture de l'échec et du rejet de l'autre. Les valeurs collectives, qui autrefois pouvaient offrir un antidote aux divisions sociales, sont désormais écrasées par l'idéologie néolibérale. L'idée du bien commun et de la citoyenneté engagée cède la place à une politique d'isolement et de méfiance généralisée.
La logique de survie du plus fort, qui fait écho à une culture de guerre, se retrouve dans chaque aspect de la société néolibérale. La pandémie a exacerbé cette dynamique en transformant l'éducation et la culture en simples produits du marché. Cette pédagogie de crise, qui valorise la compétition au détriment de la compassion et de l'entraide, nourrit une société où l'agression est devenue la norme. Les individus ne voient plus leurs semblables comme des partenaires d'une lutte commune pour le bien-être collectif, mais comme des rivaux à abattre. La brutalité de la politique de Trump, notamment en matière d'immigration, n'est qu'une manifestation extrême de cette logique déshumanisante. Des propos racistes aux politiques de séparation familiale, en passant par des propositions aussi macabres que l'électrification des murs frontières, ces actes illustrent la perte totale de l'humanité et de la solidarité.
Le climat de terreur et de division que ce type de politique engendre affaiblit les valeurs démocratiques, rendant de plus en plus difficile l'émergence de formes de solidarité véritable. Les institutions publiques, telles que les médias opposants et les écoles, sont elles-mêmes en déclin sous l'effet des politiques d'austérité et de privatisation. Cette dégradation des espaces publics et des institutions compromet la capacité des citoyens à s'engager de manière critique et informée. Les syndicats se voient affaiblis, les travailleurs perdent leurs droits sans aucun recours, et la culture politique est noyée dans une mer de distractions et de désespoir.
Dans un tel contexte, l'individu se trouve de plus en plus dépolitisé, aliéné, et coupé des questions essentielles de justice économique et sociale. L'isolement et la solitude, qui étaient autrefois perçus comme des aberrations sociales, deviennent progressivement la norme. L'éducation politique et l'engagement civique sont vus comme des fardeaux inutiles, alors que les individus se réfugient dans une culture de consommation et de divertissement. L'idée de la démocratie, fondée sur la participation active et l'échange critique, s'effondre sous la pression de cette culture de l'individualisme exacerbé et de la compétition implacable.
Enfin, il est crucial de comprendre que cette dérive n'est pas simplement un produit de la politique économique ou d'une administration particulière. Elle résulte d'un processus plus large de dépolitisation et de dégradation des structures sociales qui, en réduisant l'espace pour l'expression collective et la solidarité, condamne les individus à une existence isolée et moribonde. Cela ne fait qu'aggraver la tendance à la cynisme et à l'apathie, renforçant ainsi la logique du marché qui voit l'humain comme une simple marchandise et réduit les enjeux politiques à des questions de survie personnelle.
Le populisme de gauche face à la démocratie : entre contestation et limitations
Le populisme de gauche se distingue par son attention particulière aux conditions sociales et économiques inégales. Il interroge les dogmes des mesures d'austérité néolibérales et la prétendue neutralité des solutions technocratiques orientées vers le marché. Cependant, comme l'a souligné Federico Finchelstein, ce mouvement est souvent fragilisé par sa prétention à représenter exclusivement "le peuple tout entier contre les élites". Cette approche peut miner le projet politique du populisme de gauche en réduisant la diversité des opinions politiques et des conditions sociales à une opposition manichéenne.
Cependant, des penseurs comme Chantal Mouffe et Thomas Frank ont défendu l'idée que la combinaison de la souveraineté populaire et de l'égalité, prônée par le populisme de gauche, constitue le plus grand défi à l'hégémonie du populisme de droite, qui, selon eux, est l'un des moteurs de l'érosion des idéaux démocratiques à l'échelle mondiale. Mouffe, s'inspirant de Cass Muddle, voit dans le populisme un affrontement fondamental entre "le peuple" et "l'élite", un conflit qu'elle considère comme central dans la politique contemporaine. Selon elle, ce type de populisme soulève des questions cruciales sur la manière dont la démocratie doit être représentée et par qui. Plutôt que de considérer le populisme comme une menace pour la démocratie libérale, elle propose de le voir comme une réponse valide aux inégalités, à la domination des élites et à la question de la forme de démocratie que les peuples souhaitent.
Dans ce cadre, la proposition d'un mouvement populiste de gauche se distingue par son appel à une lutte plus vaste pour la récupération et l'expansion de la démocratie radicale. Mouffe y voit une réponse aux formes massives d'aliénation, soutenant que la souveraineté populaire doit être l'élément central d'un projet démocratique plus large. L'objectif serait de démontrer que les idéaux démocratiques libéraux sont en contradiction avec les politiques antidémocratiques du populisme de droite. La démocratie devient ainsi un instrument de lutte idéologique contre l'autoritarisme et les dérives autoritaires.
Cependant, ces arguments, bien qu'importants, ne sont pas exempts de critiques. Finchelstein, avec d'autres théoriciens comme John Keane et Jan-Werner Müller, rappelle que toutes les formes de populisme, y compris celles de gauche, partagent des pathologies communes. Parmi celles-ci, l'une des plus notables est l'instrumentalisation du populisme par divers groupes politiques, qui en font une catégorie politiquement vide, susceptible d'être appropriée par n'importe quel acteur politique. Jason Stanley souligne également que le terme "populisme" en tant que tel est souvent trop flou, dissimulant ainsi des menaces autoritaires plus spécifiques tout en éludant les causes structurelles du déclin démocratique, telles que les inégalités croissantes de richesse et de pouvoir, la privatisation des biens publics et l'influence excessive de l'argent sur la politique.
De plus, le populisme, qu'il soit de gauche ou de droite, repose fréquemment sur une personnalisation du leadership, ce qui entraîne une réduction du rôle politique à celui d'un seul individu, à l'image de leaders comme Bernie Sanders ou Donald Trump. Cette personnalisation renforce l'idée d'un "peuple" homogène, une abstraction qui néglige la pluralité des opinions et des identités au sein de toute société. Par ailleurs, le populisme de gauche peut risquer de se structurer autour de principes d'unité qui, paradoxalement, reproduisent une logique d'exclusion et de division, se définissant en opposition à un ennemi idéologique ou politique. Dans cette dynamique, le populisme ignore souvent l'importance du travail éducatif et intellectuel nécessaire pour remettre en question les fondements du néolibéralisme et sa crise corollaire de la subjectivité, de l'identité et de l'agence.
L'éducation joue un rôle central dans cette dynamique. Elle est essentielle pour changer la conscience politique des individus, qu'ils soient du côté du populisme ou qu'ils aient des attitudes contradictoires vis-à-vis de la politique, du pouvoir, de l'égalité et des autres enjeux démocratiques majeurs. Walter Benjamin a parlé de ces binarismes comme de distractions, qui ne produisent pas de conscience politique collective. Ces oppositions rigides, qu'elles soient idéologiques ou politiques, contribuent souvent à l'infantilisation intellectuelle et à la marchandisation de la culture, dévalorisant tout effort pour développer une conscience publique critique.
Populisme, qu'il soit de gauche ou de droite, tend à se nourrir de théories du complot et à favoriser un style de politique paranoïaque. Ce phénomène, bien que plus répandu dans le populisme de droite, a également une présence dans les mouvements de gauche, où il peut se traduire par un rejet absolu de l'opposition politique et un discours de délégitimation de tout adversaire comme étant tyrannique, conspirateur ou antidémocratique. Cela transforme le populisme en une idéologie rigide, fermée à toute remise en question, et réduit la politique à une lutte idéologique figée. Cette vision simpliste ignore les spécificités historiques et politiques des différents contextes sociaux, conduisant à une sur-généralisation des opposants politiques et à une vision manichéenne du monde.
Enfin, le populisme, qu'il soit de gauche ou de droite, présente un risque majeur : celui de réduire la complexité de la politique à une opposition simplifiée entre "le peuple" et "les élites". Cette réduction ne permet pas de saisir les enjeux de pouvoir dans toute leur complexité et ne répond pas aux défis de la construction d'institutions démocratiques solides. En fin de compte, le populisme, dans ses formes contemporaines, offre une vision de la politique qui peut réduire le pouvoir à un outil de résistance, plutôt qu'à une possibilité de transformation démocratique.
La gestion de la pandémie par Trump : entre désinformation et stratégies politiques
Le 11 mars 2020, l'Organisation mondiale de la santé a qualifié la pandémie de COVID-19 de crise sanitaire mondiale. Cette déclaration marquait un tournant, non seulement dans la gestion de la crise à l’échelle mondiale, mais aussi dans la manière dont chaque gouvernement réagirait face à la pandémie. Aux États-Unis, la réponse du président Donald Trump a été marquée par une série de décisions controversées, mélangeant souvent désinformation, incompréhension et, dans certains cas, exploitation politique. Dès les premières semaines de l’apparition du virus, des analyses ont mis en lumière la lenteur du gouvernement américain à réagir de manière appropriée, ainsi que l'influence des intérêts privés et des groupes de pression dans les décisions politiques.
Au début, Trump a minimisé l’ampleur de la pandémie, la qualifiant de "grippette" et affirmant que tout finirait par se résoudre naturellement. Ce genre de discours a duré plusieurs semaines, pendant lesquelles les États-Unis se sont retrouvés à court de matériels médicaux essentiels. L’absence de mesures concrètes a créé un sentiment d'incertitude et de confusion, exacerbant la crise sanitaire. Les gouverneurs des États, qui avaient été laissés à eux-mêmes dans leur gestion de la pandémie, ont commencé à s’opposer publiquement à la Maison Blanche, demandant l’aide fédérale pour obtenir des équipements de protection individuelle, des respirateurs et des tests. Mais Trump a répondu de manière ambigüe, notamment en expliquant que le gouvernement fédéral n’était pas un "commis" des gouvernements locaux, une déclaration qui a choqué de nombreux observateurs.
Les jours suivants ont été marqués par un manque de cohérence dans les actions de la Maison Blanche. Tandis que les médecins et experts de la santé, comme le Dr Anthony Fauci, conseillaient des mesures strictes pour ralentir la propagation du virus, Trump multipliait les déclarations contradictoires, mettant parfois en cause l’expertise scientifique. Loin de se concentrer sur la gestion de la crise, le président semblait davantage préoccupé par les implications politiques de la pandémie et son image personnelle. La pandémie est ainsi devenue, pour lui, un terrain de jeu pour ses stratégies électorales. Par exemple, au lieu de prendre des décisions basées sur les besoins urgents des citoyens, Trump s'est efforcé de présenter ses actions comme des succès en manipulant les faits. Lors de ses conférences de presse, il se montrait souvent plus préoccupé par les audiences télévisées que par la gravité de la situation.
Ce phénomène de "suspension de la réalité" n’a pas seulement affecté la gestion de la crise sanitaire, mais a aussi alimenté une atmosphère de paranoïa politique, où chaque mesure était interprétée non seulement comme une réponse à une urgence sanitaire, mais aussi comme un moyen de favoriser des intérêts spécifiques. Les grandes entreprises et les lobbies industriels ont souvent réussi à influencer la politique gouvernementale, obtenant des commandes prioritaires pour les fournitures médicales et une protection accrue pour leurs profits.
À cette époque, l’approche de Trump face à la pandémie s’est cristallisée dans une combinaison de négligence et d’opportunisme. Bien que l’administration ait lancé des mesures telles que des plans de relance économique et de soutien financier, ceux-ci ont souvent été perçus comme des tentatives de renforcer les inégalités existantes. Le renflouement des grandes entreprises et l'aide insuffisante pour les petites entreprises ou les individus vulnérables ont exposé la profonde fracture sociale qui caractérise la réponse américaine à la crise.
En plus de la gestion interne de la crise, la réponse de Trump a également exacerbé les tensions internationales. La pandémie a intensifié les relations conflictuelles avec la Chine, pays accusé d'être responsable de la propagation du virus. Trump a alors insisté sur le terme "virus chinois", exacerbant les sentiments anti-asiatiques aux États-Unis et dans d’autres parties du monde. Cette rhétorique a contribué à un climat de haine, en particulier à l’encontre des communautés asiatiques américaines, déjà vulnérables à des attaques racistes. Cette crise sanitaire a mis en lumière la gestion désastreuse des minorités raciales et des populations les plus pauvres, qui ont payé un prix disproportionné.
Enfin, la gestion de la pandémie a souligné la fragilité des systèmes de santé publics dans un contexte capitaliste néolibéral. L'effondrement des structures de santé face à l’énormité de la pandémie a révélé des lacunes profondes dans la préparation à une crise de grande ampleur. Cela a également mis en lumière la hiérarchie de classe et les disparités économiques : ceux qui avaient les moyens ont pu se protéger, tandis que les plus défavorisés, en particulier les travailleurs essentiels et les minorités raciales, se sont retrouvés exposés au risque.
En somme, l'échec dans la gestion de la pandémie aux États-Unis n’est pas seulement une question de mauvaise gestion administrative, mais aussi de manière dont les structures politiques et économiques en place ont exacerbé la crise. La politisation de la pandémie, le refus de prendre des mesures de santé publique basées sur des preuves scientifiques et la manipulation de l’opinion publique ont permis à cette crise de devenir un terrain de manœuvre pour des intérêts politiques et économiques spécifiques. Ce cas souligne une réalité plus large : les systèmes politiques en place, s’ils sont façonnés par des logiques de profit et de pouvoir, ne sont pas en mesure de répondre de manière efficace aux crises qui menacent la société dans son ensemble.
Comment le populisme et le néolibéralisme façonnent-ils les crises contemporaines ?
Les crises politiques et sociales récentes, amplifiées par la pandémie de COVID-19, exposent de manière criante les contradictions et les impasses du néolibéralisme, tout en favorisant l’essor d’un populisme aux traits souvent autoritaires. Ce double phénomène agit comme un révélateur et un catalyseur d’un ordre mondial fragilisé, où la montée des tensions identitaires et la remise en cause des savoirs et institutions sont désormais centrales.
Dans cette dynamique, les discours politiques se polarisent autour d’une vision antagoniste de la société. Plutôt que de pointer les menaces extérieures traditionnelles, certains dirigeants, comme Donald Trump, déplacent la peur vers une supposée « menace intérieure », renforçant ainsi la division et la méfiance entre citoyens. Cette approche instrumentalise la peur pour justifier des mesures coercitives et des interventions policières renforcées, sous couvert de « loi et ordre ». Le populisme s’appuie sur une rhétorique de la victimisation inversée, où les élites et les médias mainstream sont accusés de trahir le peuple, tandis que les faits et les connaissances scientifiques sont dénigrés ou qualifiés de « fake news ». Ce rejet du savoir, analysé notamment par Ariel Dorfman, nourrit une « guerre contre la connaissance » qui fragilise les fondements mêmes de la démocratie et du débat public.
Parallèlement, le néolibéralisme, dont la fragilité a été mise en lumière par la pandémie, apparaît incapable de répondre aux besoins fondamentaux des populations. La crise sanitaire a révélé que les systèmes de santé, érodés par des politiques d’austérité, peinent à protéger efficacement les citoyens, accentuant les inégalités sociales. Ce contexte donne à voir, selon Alfredo Saad-Filho, la possible fin d’un modèle économique qui a promu la dérégulation, la privatisation et la financiarisation au détriment de la solidarité collective. Mais la sortie de cette crise ne peut être simplement un retour en arrière ; elle exige une réflexion profonde sur les rapports de pouvoir, l’équité et la justice sociale.
La montée du populisme, en retour, ne se réduit pas à une simple réaction contre le néolibéralisme, mais incarne une crise plus large des représentations politiques et identitaires. Le populisme radicalise les conflits, proposant souvent une vision simpliste et manichéenne du monde, divisant la société entre « nous » et « eux ». Cette dialectique excluante renforce la violence symbolique et parfois physique. Pour dépasser cette impasse, il est nécessaire de repenser les notions de citoyenneté et de communauté politique, comme le suggèrent des penseurs comme Étienne Balibar ou Wendy Brown. Leur réflexion invite à dépasser les identités essentialistes pour construire des solidarités transnationales capables de résister à la fragmentation sociale.
Il est également essentiel de reconnaître la dimension performative et émotionnelle du populisme. Ce dernier tire sa force d’une capacité à mobiliser les ressentiments, la peur et la colère, souvent en instrumentalisant des discours de pure exclusion. Comprendre ces mécanismes psychologiques et culturels est crucial pour envisager des réponses politiques efficaces qui ne se limitent pas à une simple opposition répressive. La lutte contre le populisme passe par la restauration d’un espace public fondé sur le dialogue, la reconnaissance mutuelle et la vérité partagée.
Enfin, les enjeux de genre et de race sont indissociables de cette analyse. La crise néolibérale et la montée du populisme révèlent et exacerbent les violences structurelles subies par les groupes marginalisés. Le combat pour une transformation démocratique profonde doit intégrer une dimension intersectionnelle, reconnaissant la diversité des oppressions et des luttes. Sans cela, toute tentative de réforme risque de reproduire les exclusions et les inégalités.
L’attention portée à ces questions montre que ni le populisme ni le néolibéralisme ne peuvent être compris comme de simples phénomènes politiques isolés. Ils incarnent des expressions multiples d’un désarroi démocratique, d’une crise de la représentation et d’un effondrement des solidarités collectives. La complexité de ces enjeux invite à une réflexion renouvelée sur les conditions d’un vivre-ensemble démocratique, capable de résister à la fois aux dérives autoritaires et aux logiques de marché qui fragmentent la société.
Il est crucial que le lecteur saisisse l’importance de ces interactions systémiques. La polarisation politique actuelle n’est pas seulement une bataille d’idées, mais un affrontement qui touche aux fondements mêmes de la coexistence sociale. Pour y répondre, il faut dépasser les discours simplistes et les postures manichéennes, afin d’élaborer des formes de gouvernance inclusives, transparentes et responsables. La crise sanitaire, en ce sens, est un moment historique d’opportunité pour repenser les priorités, reconstruire le lien social et réinventer des modes d’organisation politique qui rendent justice à la pluralité des expériences et des identités.
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