Lorsque l'on travaille avec des ensembles de données relativement petits, mais que l'on estime qu'ils contiennent les caractéristiques essentielles pour l'entraînement d'un modèle, une approche utile consiste à augmenter ces données. Bien que la taille réduite des données puisse sembler limitative, il est possible de générer des instances supplémentaires par une variation légère, mais statistiquement fondée, des données existantes. L'exemple suivant montre un code qui double le jeu de données d'adoption de panneaux photovoltaïques (PV) en générant de nouvelles instances suivant une distribution normale autour de la moyenne et de l'écart-type des caractéristiques, en fonction de la valeur cible (0 ou 1). Ces nouvelles instances sont ensuite concaténées avec les données originales, offrant ainsi une augmentation du jeu de données pour l'entraînement du modèle.
Bien que cette approche soit efficace, elle repose sur l'hypothèse forte que toutes les valeurs des caractéristiques sont normalement distribuées, ce qui n'est pas nécessairement le cas dans la réalité. Néanmoins, en prenant le temps de travailler les propriétés statistiques des caractéristiques, il devient possible de créer des données synthétiques supplémentaires adaptées à l'entraînement, ce qui permet de mieux utiliser un petit ensemble de données.
Une autre méthode pour éviter le sur-apprentissage consiste à réduire le nombre de caractéristiques utilisées dans l'entraînement. Les caractéristiques n'ont pas toutes la même importance pour la prédiction des données. Certaines caractéristiques, en raison de leur pureté en relation avec la cible, fournissent plus d'informations et contribuent davantage à la précision du modèle. L'évaluation de cette importance peut être réalisée à l'aide d'un arbre de décision, mais dans des jeux de données plus complexes, comme l'exemple d'adoption de panneaux photovoltaïques, cette approche devient plus difficile à interpréter visuellement. Néanmoins, des outils comme Graphviz permettent de visualiser l'arbre et de détecter les caractéristiques et les seuils de division les plus importants pour la prédiction.
Une autre méthode couramment utilisée pour évaluer l'importance des caractéristiques est l'importance de Gini. Cette mesure évalue la réduction de l'impureté totale causée par chaque caractéristique. Scikit-learn propose une fonction permettant de classer les caractéristiques en fonction de leur importance selon l'indice de Gini. Cette importance peut ensuite être visualisée pour aider à déterminer quelles caractéristiques méritent d'être retenues pour l'entraînement du modèle.
D'autres méthodes de réduction de caractéristiques incluent l'Élimination Récursive de Caractéristiques (RFE) et le transformateur SelectFromModel. Le RFE consiste à tester des sous-ensembles de plus en plus petits de caractéristiques pour observer quelle perte de performance entraîne l'élimination de chaque caractéristique. De son côté, SelectFromModel permet de supprimer les caractéristiques d'un modèle déjà entraîné si leur importance est inférieure à un seuil défini. Ces techniques permettent de trouver un nombre optimal de caractéristiques à utiliser.
Une approche fréquemment utilisée pour réduire le nombre de caractéristiques tout en préservant la variance maximale d'un jeu de données est l'Analyse en Composantes Principales (PCA). Cette méthode non supervisée décompose un jeu de données multivarié en un ensemble de composants orthogonaux successifs, chacun représentant la plus grande part de la variance. L'idée est de conserver seulement les dimensions qui expliquent une fraction suffisante de cette variance. En pratique, il est souvent possible de démontrer qu'une grande partie de la variance dans un jeu de données peut être captée avec un nombre de composants beaucoup plus petit que le nombre de caractéristiques d'origine. Cette réduction du nombre de caractéristiques contribue à prévenir le sur-apprentissage et permet également de gagner du temps lors du calcul.
Enfin, dans le cadre de l'apprentissage automatique, il existe une variété d'autres outils puissants. Les machines à vecteurs de support (SVM), par exemple, sont adaptées à des tâches de classification linéaire et non linéaire, ainsi qu'à des tâches de régression. Bien que leur coût computationnel soit relativement élevé, les SVM sont particulièrement efficaces pour des ensembles de données complexes de taille modérée. Le principe de fonctionnement des SVM est de chercher à séparer les classes de données avec la plus large marge possible. Une fois que cette séparation est trouvée, un modèle plus robuste peut être appliqué sur de nouvelles données.
Les SVM peuvent aussi être utilisés pour des tâches de régression. Contrairement à la classification, où l'on cherche à attribuer des instances à des classes spécifiques, la régression consiste à prédire une valeur continue. Par exemple, au lieu de prédire si une personne adoptera des panneaux photovoltaïques ou non, un modèle de régression pourrait prédire la valeur d'un bien en fonction de ses caractéristiques comme sa marque, son kilométrage ou son âge.
Il est crucial de noter que, quel que soit l'outil ou la méthode choisie, le but reste d'éviter le sur-apprentissage en s'assurant que le modèle généré généralise bien sur de nouvelles données. Cela implique non seulement d'augmenter les données ou de réduire les caractéristiques, mais aussi de tester et valider systématiquement les modèles sur des jeux de données non utilisés pour l'entraînement. L'optimisation de la complexité du modèle et la vérification de sa capacité à généraliser sont essentielles pour produire des résultats fiables et efficaces.
Comment les autoencodeurs peuvent-ils améliorer l'apprentissage profond?
Les autoencodeurs sont un type particulier de réseau de neurones artificiels (RNA) utilisés pour l’apprentissage non supervisé. Leur fonctionnement repose sur une architecture qui cherche à reproduire l’entrée à sa sortie, en minimisant l’écart entre les deux grâce à une fonction de perte, appelée « perte de reconstruction ». L’objectif est que la sortie de l’autoencodeur soit aussi proche que possible de l’entrée, ce qui pousse le modèle à apprendre une représentation comprimée des données tout en capturant ses caractéristiques les plus importantes.
L'architecture de l'autoencodeur se compose généralement de trois parties principales : l’entrée, l'encodeur et le décodeur. L'entrée est un vecteur représentant les données d’entrée, par exemple une image ou un signal. L'encodeur transforme cette entrée en un code de dimension réduite, appelé « couche cachée ». Cette réduction de dimension, parfois appelée « sous-completude », contraint le modèle à ne conserver que les informations essentielles, tout en rejetant les éléments non pertinents. Le décodeur tente ensuite de reconstruire l’entrée à partir de ce code comprimé. Ce type d’architecture est utile pour des tâches telles que la compression de données, la détection d'anomalies, ou la préformation de réseaux de neurones sur des données non étiquetées.
Les autoencodeurs sous-complets, où la dimension de la couche cachée est inférieure à celle de l'entrée, sont particulièrement efficaces pour extraire des caractéristiques pertinentes. Par exemple, lorsqu'on applique un autoencodeur sous-complet aux chiffres du jeu de données MNIST, on obtient une reconstruction qui conserve juste assez d’information pour identifier correctement les chiffres. Cela peut être particulièrement utile pour la classification d’images, où une grande partie de l’information visuelle est souvent superflue ou redondante.
Une variante intéressante des autoencodeurs est l'autoencodeur variationnel (VAE). Contrairement aux autoencodeurs traditionnels qui génèrent une seule reconstruction à partir d'un code donné, les VAE génèrent une distribution de codes, calculant la moyenne et l'écart type de ces codes avant de les utiliser pour la reconstruction. Cela permet de créer des données synthétiques, comme des images, qui sont statistiquement similaires aux données d'entrée mais pas identiques. Cette approche est particulièrement utile dans les domaines où l'accès aux données réelles est limité, comme dans le domaine de la santé, où les données sensibles doivent souvent être protégées pour des raisons de confidentialité. Les VAE permettent ainsi de générer des données "fictives" tout en respectant les propriétés statistiques des données réelles, ce qui peut être utilisé pour former des modèles sans compromettre la confidentialité.
Les autoencodeurs peuvent aussi être utilisés pour la préformation d’autres réseaux de neurones. Par exemple, il est possible de préformer un réseau de neurones sur des données non étiquetées, telles que des images téléchargées depuis internet, sans avoir besoin de les étiqueter manuellement. L'autoencodeur peut alors organiser les images en catégories basées sur des similarités détectées dans les données, et les poids ajustés au cours de cette étape peuvent ensuite être transférés à un autre réseau pour affiner la classification des images. Cela permet d’éviter le travail coûteux et chronophage de l’étiquetage manuel, tout en tirant parti des informations non étiquetées disponibles sur internet.
Cependant, l'utilisation d'autoencodeurs ne se limite pas aux architectures simples. Lorsqu'on empile plusieurs autoencodeurs, on obtient ce que l'on appelle un autoencodeur profond (ou « stacked autoencoder »), qui consiste en un réseau de neurones multicouche. Un tel réseau peut capturer des représentations de plus en plus abstraites et complexes des données, ce qui améliore sa capacité d'apprentissage. Mais attention : si le réseau devient trop profond, il risque de devenir trop spécifique aux données d’entraînement et d’en souffrir par surapprentissage (overfitting). Un tel réseau peut alors parfaitement reconstruire les données d’entrée mais échouer à généraliser à de nouvelles données, ce qui limite son utilité. Le réglage du nombre de couches cachées est donc un paramètre crucial dans la conception des autoencodeurs.
Dans la pratique, pour éviter le surapprentissage, il est courant d’entraîner séparément plusieurs autoencodeurs plus simples avant de les empiler. Cela permet d’ajuster les poids et les biais des différentes parties du réseau avant de les combiner. Cette technique, appelée pré-entrainement ou fine-tuning, est aussi utilisée pour rendre les réseaux de neurones plus efficaces lorsqu’il s’agit d’apprendre des tâches complexes sur des données non étiquetées.
Les autoencodeurs, ainsi que leurs variantes comme les VAE, ont transformé de nombreuses approches en apprentissage profond et ont trouvé des applications dans des domaines variés. En particulier, ils sont précieux pour l'extraction de caractéristiques à partir de données complexes et la génération de nouvelles données synthétiques dans des contextes où les données réelles sont limitées ou sensibles. La compréhension de ces concepts permet de mieux saisir la puissance des réseaux de neurones et de tirer parti de leurs capacités pour des tâches de plus en plus complexes.
Comment garantir une équité dans les systèmes algorithmiques ?
Les systèmes algorithmiques de prise de décision sont souvent présentés comme des solutions impartiales et objectives. Cependant, comme l’illustre l'exemple des systèmes de prévision de récidive, l’utilisation de ces technologies peut engendrer des biais discriminatoires. Une étude a démontré que les personnes noires étaient plus susceptibles d'être classées à tort comme présentant un faible risque, comparativement aux personnes blanches. Bien que des tests statistiques menés par les développeurs aient montré que le système traitait les populations noires et blanches de manière similaire, il subsistait un problème sous-jacent de traitement inéquitable des sous-groupes au sein de ces deux groupes. Ce décalage entre les résultats d’analyse de la performance globale et ceux des classes comparables a révélé un dilemme fondamental dans la manière dont l’équité est définie dans le contexte des algorithmes.
Il en ressort que deux approches apparemment valides du système sont incompatibles, et la question de savoir quel traitement est équitable doit être résolue sur un plan social et politique. Cette situation soulève un défi majeur pour l’élaboration des politiques publiques, en particulier dans le cadre des réglementations telles que le Règlement général sur la protection des données (RGPD) de l'Union européenne, qui inclut des dispositions visant à accroître la transparence des processus décisionnels automatisés, comme le « droit à l'explication » de l’utilisation des données personnelles. Pourtant, malgré ces mécanismes, la nature opaque des algorithmes d’apprentissage automatique, notamment des réseaux neuronaux modernes, rend difficile une véritable transparence des « raisonnements internes » de ces systèmes.
Les progrès en matière d'intelligibilité des modèles, par exemple grâce à l’analyse statistique et à la visualisation, tentent de résoudre ces problèmes. Néanmoins, la complexité intrinsèque des systèmes d'IA continue de poser des difficultés majeures. En effet, l’alignement des outils d’apprentissage automatique avec des comportements et des décisions conformes aux attentes humaines est crucial pour éviter les risques d’abus, de désinformation ou d’intrusion dans la vie privée. Ces attentes, bien qu’elles varient selon les individus et les cultures, peuvent être globalement comprises sous l’appellation de « valeurs humaines ».
L'introduction des modèles GPT a marqué une étape importante dans cette réflexion, car elle a mis en lumière la nécessité d’un alignement des modèles d'IA avec ces valeurs humaines. Ce processus requiert plusieurs étapes clés pour garantir que les systèmes opérant sur ces modèles respectent des frontières éthiques et produisent des résultats fiables et sûrs. Il est essentiel, tout d'abord, de veiller à une curation et un prétraitement des données rigoureux, afin de compiler des ensembles de données diversifiés et représentatifs tout en éliminant les contenus nuisibles pour minimiser les biais présents dans les données d’entraînement. Après cela, des techniques de réajustement supervisé et d’apprentissage par renforcement avec retour humain (RLHF) peuvent être utilisées pour guider le processus de formation des modèles vers des comportements acceptables pour l’humain. Ce processus, à la fois itératif et supervisé, permet aux annotateurs humains de fournir des corrections et des étiquettes, ce qui permet aux modèles d’apprendre des contextes et d’adapter leur comportement.
Les processus dits « Human-in-the-Loop » (HITL) et les audits réguliers sur l’éthique et les biais sont également mis en place pour superviser ces systèmes. Les HITL impliquent une surveillance humaine continue, permettant des corrections en temps réel pour améliorer les performances du modèle. Parallèlement, les audits d’éthique et de biais, qui combinent outils automatisés et revues d'experts, aident à identifier et à atténuer les problèmes potentiels. En outre, des avancées en matière d'explicabilité et de transparence, comme les mécanismes d'attention et les rapports de transparence, contribuent au déploiement éthique des modèles GPT. L’objectif est de créer des outils dynamiques et conscients du contexte, qui permettent une adaptation continue aux nouvelles situations et aux intentions des utilisateurs sans nécessiter de réentraîner les systèmes de manière intensive. Cela permet non seulement d’améliorer les performances des IA, mais aussi de garantir que celles-ci respectent les valeurs sociétales et les normes éthiques.
Toutefois, il reste beaucoup à faire. Bien que des progrès indéniables aient été réalisés, l’objectif d’une pleine conformité aux normes éthiques et aux attentes humaines n’est pas encore atteint dans tous les domaines. Ce travail de fond est crucial si nous voulons que l’intelligence artificielle, en particulier les systèmes d'IA de prise de décision, soit un levier de progrès plutôt qu’une source de nouveaux risques sociaux et éthiques.
Comment le principe de l'énergie libre et l'empowerment guident-ils les systèmes biologiques et artificiels ?
Le principe de l’énergie libre, développé par Karl Friston, repose sur une idée fondamentale : les systèmes biologiques, en particulier les cerveaux, cherchent à minimiser la surprise en ajustant leurs prédictions internes à la réalité observée. Cette idée s’appuie sur les travaux de Shannon sur l'information, où la surprise est liée à l’incertitude d’un événement donné. En d'autres termes, plus un événement est imprévisible, plus il contient d’information, et plus il est surprenant. Le but de toute organisation biologique ou cognitive est donc de réduire cette surprise afin de maintenir un état d’équilibre, ce que Friston appelle la « minimisation de l’énergie libre ».
Prenons un exemple pour illustrer ce principe. Imaginons un poisson nageant dans l'eau. Ce poisson vit dans un environnement relativement stable et prévisible, mais pourrait se retrouver dans une situation surprenante, par exemple, hors de l’eau. Cependant, ce poisson ne peut pas connaître toutes les situations possibles, mais il utilise un modèle interne de son monde pour prédire les états dans lesquels il peut se trouver. La surprise ne provient pas directement de la différence entre la réalité et toutes les configurations possibles du monde, mais de la divergence entre les prédictions de son modèle et les entrées sensorielles qu'il reçoit.
Ainsi, l’organisme ou l’agent cherche à minimiser cette divergence, ce qu’il accomplit en ajustant son modèle interne ou en agissant sur l'environnement pour le ramener dans un état prévisible. Ce processus, bien qu'instinctif et biologique, a des parallèles intéressants dans les systèmes artificiels comme les robots. Ces derniers utilisent des algorithmes basés sur des modèles probabilistes pour prédire les états futurs, ajuster leurs actions et minimiser leur propre « énergie libre ».
Un concept clé qui découle de cette minimisation de la surprise est celui de « l'empowerment ». Ce terme, introduit dans le domaine de la robotique, désigne la capacité d’un agent à contrôler son environnement, ou plus précisément la quantité de liberté qu'il possède dans un état donné. Un agent, qu’il soit biologique ou artificiel, évalue ses options actuelles, mesure leur « empowerment » (c'est-à-dire le contrôle qu'il peut exercer sur le monde dans cet état), et sélectionne l’action qui élargit cette liberté. En d'autres termes, l’agent choisit des actions qui augmentent son espace de possibilités futures, ce qui lui permet de mieux interagir avec son environnement.
Il est important de noter que l'empowerment n'est pas directement lié à la survie ou à la préservation d'un état biologique particulier. Il s'agit d'un principe plus général qui aide les agents à maintenir leur autonomie, en cherchant constamment à augmenter leurs options d’action. Par exemple, une action qui augmente la capacité d'un organisme à interagir avec son environnement — comme un poisson qui retourne dans l’eau — peut être perçue comme un moyen d'accroître son empowerment.
Ce processus d'ajustement continue se base sur un équilibre entre les prévisions du modèle interne de l'agent et les données sensorielles qu'il reçoit. En l'absence de surprises, le système atteint un état d'homéostasie ou d’équilibre dynamique, où ses actions et perceptions sont constamment ajustées pour minimiser l'écart entre le monde interne et le monde extérieur.
Cependant, cet équilibre n'est pas statique. Il évolue en fonction des interactions de l'agent avec son environnement et des nouvelles informations qui viennent affiner son modèle du monde. Ce processus d'apprentissage est fondamental non seulement pour les systèmes biologiques, mais aussi pour les intelligences artificielles modernes, qui s'efforcent de simuler des processus d'apprentissage adaptatif semblables à ceux des êtres vivants.
Il est crucial de comprendre que la minimisation de l'énergie libre et l’optimisation de l’empowerment ne visent pas simplement à préserver la stabilité du système, mais à maximiser les opportunités d’interaction et de croissance. Cela conduit à un renforcement de la capacité à prédire et à influencer l’environnement de manière plus précise et plus efficace. L'empowerment, en fin de compte, est un moyen pour l'agent de se doter des ressources nécessaires pour naviguer avec succès dans un monde imprévisible et de se préparer à de futures surprises.
Enfin, la relation entre surprise, modèle interne et empowerment peut être vue comme une sorte de danse dynamique, où l’agent ajuste constamment ses perceptions, ses actions et ses attentes pour éviter les états imprévisibles ou déstabilisants. Ce processus, bien qu'il puisse sembler abstrait, est fondamental à la survie dans un monde où l'incertitude est omniprésente.
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